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Rumeurs
• Il parait qu'Ordre Funeste déteste les instruments de musique car son frère Lumière jouait du piano très fort à l'heure de sa sieste quand il était petit.
• On raconte que lorsque vient la pleine Lune, on peut voir des Dryades dans la Forêt...
On murmure que LA SAINTE LAME NOM DE DIEU C'EST PAS RIEN est caché dans le Sanatorium... Et que celui qui prendra cette épée pourra commander au vent et vaincre les dieux... Info ou Intox ?
• Il se dit dans les couloirs du panthéon que Flore Ravageuse userait de rambourage pour améliorer ses formes.
Autres Rumeurs.
Notifications
• Pluie et nuage sont annoncé, avec des orages fréquents. Pensez à rester couvert et à l'abri de l'humidité qui favorise [b]les maladies.[/b]
• La forêt et la Ville sont affecté par la Pluie : la forêt est renforcée, les plantes semblent plus dangereuses et plus agressive.
• En ville, les monstres ont tendances à se montrer moins fréquemment à cause de la pluie.
• Le Monstre de Sable a disparu.
• Votre personnage peut être atteint de la fièvre Néandertalienne à cause de l'humidité. Cela peut être de votre volonté... ou de celle du staff. Son prochain rp devra être écrit dans un état fébrile, nauséeux. Votre personnage aura du mal à se concentrer et à communiquer avec autrui. Cette fièvre peut durer une semaine... Et peut entraîner la mort. La maladie croit en puissance les trois premiers jours, puis sa puissance diminue avec le temps.
Les Liens du Sang
Innokentiy
Fils de Evangeline
Sharon Chilton
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Merry Shark
Soeur de Seth Shark
L'Ingénieur
Meilleur Ami d'Atsuki Sengo et As de Trèfle.
Drusilla Giovanni
Ennemie d'Alexandro Derrechi
Maria Selimont
Amie de Sullivan Gordon et ancienne As de Trèfle.
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Soeur de Amber Holsey
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Mère de Leet Saddler
Mai Sun
Petite amie de Liang Tsao
Chad Stoneford
Demi-frère de Yuki Icesoul
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"Mieux vaut être que paraître."

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MessageSujet: "Mieux vaut être que paraître." "Mieux vaut être que paraître."  EmptyJeu 29 Aoû - 10:49

Alice V. McWarren
En bref et en gros ♪
Noms: McWarren
Prénom: Alice Victoria
Age:  19 ans
Taille: 1m75
Poids: Pas lourde en tout cas. ~
Sexe  ♀
Origine: Américaine
Clan: Partie réservé aux Administrateurs ♥
Loisir: Du violon, du chant, de l'escrime, du tir à l'arc.

Epoque d'origine: Époque victorienne.
Centre d'intérêt: Les arts, la littérature, les affaires touchant les meutres.
Aime: Les roses, son monde, les lapins, le thé, les livres, les armes blanches, les meurtres, les vieilles peluches et poupées,  l'automne et l'hiver, la nuit, le sang.
Deteste: La réalité, les gens, le bruit.
Beauté glaciale.

[point de vue de Molly, domestique de la famille McWarren]

J'ai étais désignée pour être la nurse de la future fille adoptive du maître. Je ne sais pas si j'aurai mieux fait d'avoir refusé. Dès que je l'ai vu sur le seuil de la demeure McWarren... j'ai su qu'elle n'allait apporter que des problèmes !

La première fois que je l'ai aperçu, c'était un jour d'automne. Elle était là, seule sur le seuil de la demeure tandis que monsieur et madame McWarren descendaient du fiacre. Madame ne pouvait donner aucun enfant à son époux et ils ont ouïe dire qu'ils trouveraient des enfants remarquables dans un orphelinat à Londres... Je ne sais pas s'ils ont eu tort ou raison de ramener leur fille adoptive ici.

Elle avait l'allure d'une enfant aussi innocente qu'une souris. Toute maigrichonne, pâle. Elle n'était vêtue que d'une robe usée, grise, qui lui arrivait à peine aux genoux ainsi qu'un tablier blanc aussi sale que ces pauvres souliers noirs. Et puis des collants, noirs et effilé. Monsieur et madame n'avait donc rien prévu pour habiller cette pauvre enfant ! Oooh, que diable ! Elle ne devait guère avoir plus de dix ans et ne mesurait qu'approximativement qu'un mètre vingt.
Elle tenait entre ses petites mains fragiles une valise et une vieille peluche de lapin. Je me suis approchée d'elle et c'est au moment où j'allais prendre sa valise que je croisais son regard. Un regard aussi beau, mais tellement froid... des yeux d'un vert turquoise, clairs et vidés d'émotions chaleureuses. J'en eus les frissons. Je restais figée à observer ses yeux et essayer d'y trouver ce ne serait qu'un brin de vivacité ou alors de sympathie... rien. Puis elle baissa le regard.

J'ai longtemps dû m'occuper d'Alice, jusqu'à ce qu'elle soit en âge de faire tout correctement seule. Sa guenille de robe fut remplacée par de la soie et de la dentelle. Ses souliers par des bottes en cuir ou des talons hauts. Ne portant presque jamais d'accessoires. Elle avait plus un air de noblesse à ce moment-là. Elle préférait les robes souples, qui lui arrivaient à peine aux genoux que les vêtements qui recouvraient entièrement ses jambes. Les bottes qui lui permettaient de marcher sur les pavés comme dans la boue. J'avais l'habitude de la retrouver couverte de saleté de la tête aux pieds et cela ne la dérangeait en aucun cas. Souvent, l'on pouvait apercevoir de fines cicatrices ornant sa peau si douce. Mademoiselle n'avait pas peur de se salir les mains, au contraire.

Elle continuait de grandir et de s'embellir. Son visage rond s'allongea et son teint devint juste un peu moins pâle, bien qu'elle garda cette peau froide. Ses cheveux soyeux poussèrent davantage jusqu'à lui tomber au milieu du dos. Elle attachait rarement ses cheveux, préférant les laisser tomber en cascade. Grâce aux activités qu'elle pratiquait, son corps se muscla. Elle garda une allure fine et gracieuse. Des épaules rondes, des mains fragiles... mais toujours ce regard avec une étrange lueur. Ils étaient légèrement différent de quand elle était enfant, mais gardait ce vide quand même quand elle observe autre chose que vous ! Il lui arrive d'avoir de petites émotions qui traversent son regard, du sadisme ou de la cruauté, rien de beau.
Douce schizophrénie.

[point de vue du psychiatre Thomas Mildrun]

Je m'occupe de mademoiselle Alice depuis l'âge de ses dix ans et je ne peux nier que j'ai là un cas très particulier. Cette enfant souffre de schizophrénie, il n'y a aucun doute. J'ai pu le constater après plusieurs séances en sa compagnie. Elle m'a raconté qu'elle avait rencontrée des gens qu'elle seule pouvait voir, qui la suivaient, qui l'espionnaient. Je n'ai pus tirer aucun détail au sujet de ces personnes, aucune description physique, vu qu'elle ne s'en rappelle pas. Des hallucinations très certainement. Ainsi que des hallucinations auditives. Elle entend des murmures, des cris et on l'a souvent entendu parler seule. Pauvre enfant. Ces parents croyaient qu'ils avaient affaire à un démon qui possédait la fillette. Le plus souvent lors de ses visites, elle me racontait que lorsqu'elle était triste, elle se rendait dans un... "un endroit merveilleux". Là où les animaux parlent, où les paysages sont tirés des livres fantastiques : des arbres immenses, (et j'insiste sur le mot), des morceaux de terres qui flottent dans les airs, des fleurs géantes, des bâtisses à la structure étrange, où l'on peut même marcher au plafond... sans oublier ces personnes qui résident dans ce monde. Des gens eux aussi étrange, qui peuvent avoir deux têtes, plusieurs bras, pas de jambes, ainsi que des visages déformés et j'en passe... je me demande comment fait-elle, si elle voit vraiment des gens, pour ne pas être... traumatiser.

Mis à part ça, Alice est une jeune fille avec un caractère bien à elle. Dès que je l'ai connu quand elle était enfant, elle était relativement calme et respectueuse. Part son entourage, j'ai entendu dire qu'elle était toujours comme ça. Qui obéissait sagement à ses parents. Mais comme tout enfant de son âge, elle ne pouvait rester sage bien longtemps. Elle avait tendance à s'aventurer hors de chez elle sans l'accord de ses parents, toujours assoiffée par la découverte de l'inconnu. Elle préférait se promener dans la forêt qui entourait sa demeure que de se rendre à Londres qui était à des kilomètres. C'était une vraie curieuse. Elle n'avait pratiquement peur de rien. Elle partait souvent l'après-midi pour revenir tard le soir, couverte d'égratignures, de sang, de saletés. Même si sa nurse et ses parents se mettaient en colère contre elle, la petite les ignorait et recommençait aussitôt. J'ai appris qu'elle n'avait aucun ami "réel", juste des personnages imaginaires.

Mais il eut pire. Petit à petit, elle commença à rapporter des cadavres de petits animaux. J'en ai discuté avec Molly et elle me disait qu'il n'était pas rare de trouver dans les meubles, pots, coffres de la chambre d'Alice des os ou de la chair. C'était comme devenu une passion pour elle. Sa mère fit même un malaise en voyant un jour, sa fille, tenir entre ses mains le cadavre d'un lapin sans tête. S'en était devenu morbide. Le sang ne la dégoûtait pas. Elle souriait à chaque corps qu'elle récoltait et se faisait un plaisir à les montrer à tout le monde. C'est à ce moment-là que ses visites à mon cabinet furent plus fréquentes. La petite anglaise me racontait qu'elle avait rencontré une autre enfant dans les bois et qu'elle lui avait dit que chaque animaux au sol, qui ne bougeait plus, était en réalité des jouets abandonnés par les enfants du ciel et qu'il fallait les recueillir. Bien sûr, Alice y crut et ramena tout ce qu'elle pouvait. Quand elle n'était pas présente chez elle, son père chargeait les domestiques d'enlever les corps d'animaux de la chambre et de les brûler. La petite fut triste à voir ses "jouets" disparaîtrent.

Plus elle grandissait, moins ses escapades en forêt avaient lieux. Elle redevint calme et je la voyais de moins en moins. Je pensais que son état s'était arrangé. Mais je me trompais. Je recevais des lettres de monsieur McWarren m'informant de l'état de sa fille adoptive. Il me racontait à travers qu'elle s'était renfermée sur elle-même et n'adressait plus la parole à quiconque. La nuit, l'on pouvait l'entendre parler seule dans sa chambre, le jour, pas un bruit. Toujours enfermait entre quatre murs. Elle avait peur ... non, elle détestait les gens. Elle ne voulait plus les voir, disant que ça la rendait folle et qu'ils lui faisaient du mal. Le peu de fois qu'elle sortait de sa chambre, c'était pour prendre les repas et faire sa toilette. Et à chaque fois, elle n'adressait pas un mot, restant dans le silence et ne croisant aucun regard avant de retourner calmement dans sa pièce. Les lettres racontaient aussi l'état agressif dans lequel elle pouvait être, c'était rare, mais tellement dangereux. Elle cachait sous son oreiller un couteau et n'hésitait pas à s'en servir sur quiconque oserait l'approcher. Molly fut blessée à l'oeil, d'autre domestique subir aussi la folie de la jeune fille. Elle tua le chat de sa mère, ainsi que les deux chiens de chasse de son père. Sans aucun regret. Elle était froide, répondait sauvagement ou alors rapidement. Elle ne souriait plus. Elle prenait même du plaisir à faire du mal.

Pour ses dix-huit ans, ses parents décidèrent de la faire interner dans un  hôpital psychiatrique pendant quelques mois. Je lui rendais visite dès que je pouvais. Elle était enfermée dans cette chambre et me racontait ce qu'elle voyait ou entendait. Des ombres planaient au-dessus de son lit, des voix venaient d'en dessous. On lui disait que personne ne devait la toucher. Si c'était le cas, il fallait qu'elle se défende de n'importe quelle manière. J'ai arrêté de lui rendre visite au bout de trois mois. Elle sortit de l'hôpital deux mois après.

C'était madame McWarren qui m'envoya des lettres ensuite. Alice était revenu, calme et silencieuse. Pendant deux semaines, elle n'avait pas dit un mot. L'on pensa qu'elle avait perdu l'usage de la parole. Mais ce fut un jour où elle décida d'adresser un mot à ses parents. Tout redevint plus ou moins calme dans la maison. La jeune femme restait tout de même loin des foules de gens. Puis après, aucun acte de barbarie ou de violence eut lieux. Elle restait tout même enfermée chez elle.

Je me demande comment son état évoluera au fil des jours. J'attends éventuellement de prochaines lettres.
Je ne suis pas folle. Ma réalité est juste différente de la votre.

[point de vue de Summer McWarren, mère adoptive]

Je ne pouvais donner aucun enfant à Charles, mon époux. À cette époque, je n'étais âgée que de trente-et-un ans, lui de trente-quatre ans. Et nous voulions à tout prix avoir un enfant. Je travaillais dans une grande banque à Londres, tandis que Charles était bijoutier. Grâce à des connaissances et de l'argent, nous nous sommes rendu dans un orphelinat connu à Londres. La directrice de l'orphelinat, nous a donc parlé des enfants et nous avons souhaité les voir. Mon mari voulait un garçon, tandis que moi, je voulais une fille. Mais il fut d'accord pour une fille. Il y avait plus de filles que de garçons. Mon attention se porta une demoiselle qui se trouvait seule dans un coin à jouer avec une vieille peluche de lapin. Je lui demandais donc plus d'informations au sujet de cette orpheline.

« Elle se prénomme Alice, c'est gravé sur le médaillon qu'elle porte autour du cou. Elle a été déposée devant l'orphelinat il y a sept ans. Une lettre se trouvait en plus de l'enfant, racontant que la fillette était d'origine Américaine ainsi que le nom de famille de ses vrais parents. Mais ils ont voulus que ce dernier ne soit révélé à personne. Je garde donc le silence à ce sujet. Rien de plus, pas même la signification de l'abandon. Elle a été adoptée deux fois, mais les familles ne supportaient... pas que cette enfant ne parle pas et l'ont donc ramenée. Jusqu'à présent, le peu de fois où elle parle, c'est quand elle est dans sa chambre. Mais il n'y a personne. C'est une enfant calme et qui n'embête jamais ses camarades. Néanmoins, elle est très discrète et adore la compagnie des peluches. Elle est âgée de huit ans. »

Je voulais recueillir cette enfant et l'aider à grandir dans ce monde. Nous sommes partis et le soir même, j'en ai discuté avec Charles. Il n'était pas très d'accord pour avoir ce genre d'enfant. Mais après réflexion, il préférait avoir une enfant calme que turbulente. Le lendemain, nous sommes revenu à l'orphelinat pour adopter Alice. Sur le chemin du retour, j'ai essayé d'en apprendre un peu plus sur Alice, de lui parler. Elle ne sait aucune information de ses parents biologiques. J'ai aussi discuté avec elle de ce qu'elle aimait. Elle ne me répondait pas, mais le prénom " Walter " traversa ses lèvres. Tout d'abord, je pensais que c'était un garçon qu'elle connaissait. Mais je me trompais, c'était sa peluche qui s'appelait comme ça. D'ailleurs, elle ne s'en sépare jamais. Puis pour le reste du trajet, elle ne parla plus. J'ai pu remarquer qu'autre chose était graver sur son médaillon qu'elle porte autour du cou. J'ai pu vaguement lire le mot "Wil..." mais le reste était légèrement effacé.

Tous les bons moyens ont été mis en place pour une éducation correcte pour Alice. Je me chargeais de sa scolarité tandis que Charles, des activités. Molly, elle, s'occupa de lui apprendre les bonnes manières. Tout se passa comme prévu pendant deux ans.
Pour ses dix ans, nous avons commencé à nous inquiéter pour elle. Nous l'attendions parler seule alors nous avons décidé de l'emmener voir un psychiatre, monsieur Mildrun. Et il nous a découvert une faible schizophrénie à l'enfant. Charles a eu du mal à accepter cette maladie.

Mais nous avions dû faire avec.

Puis ça empira. Elle sortait sans notre accord dehors, dans la forêt et nous nous faisions un sang d'encre lorsqu'elle disparaissait. Et puis ces cadavres de pauvres bêtes qu'elle ramenait... s'en était répugnant. Je me suis sérieusement inquiétée pour l'état d'Alice et l'emmena le plus souvent voir monsieur Mildrun. Il me racontait à chaque fin de séances ce que la petite lui disait. J'en étais tellement surprise à attendre tout ça.

À l'âge de quinze ans, Alice devint violente, agressive, asociale.
Une fois, à table, alors que tout était silencieux, Charles avait décidé de briser le silence et demander à Alice pourquoi ce comportement. Elle ne répondit pas. Il répéta plusieurs fois sa question, aucune réponse. C'est alors qu'il agrippa le bras de sa fille. Puis soudain, elle lui enfonça profondément son couteau dans la chair, avant de se lever de table et s'enfuir jusqu'à sa chambre. Ce fut horrible.

Les mois s'écoulaient, je commençais à regretter d'avoir adopté Alice. On avait beau lui faire suivre des traitements psychologiques, rien ne changeait. L'on avait arrêté de lui donner des cours, vu qu'on avait peur de ce qu'elle pouvait nous faire, comme elle avait fait au chat et aux chiens, ainsi qu'à Molly. La voir enfermer dans sa chambre et l'entendre parler la nuit, ça devenait terrifiant. Charles eut l'idée de la renvoyer à l'orphelinat. Je restais sceptique face à cette déscision. Car si j'ai adopté Alice, c'est bien pour l'aider et non pas pour l'abandonner en cours de route !

Il fallait à tout prix la faire soigner. C'est pour cela que mon époux et moi l'avons envoyé dans un hôpital psychiatre à l'âge de dix-huit ans. Ça été dur, je refusais de la voir de nouveau enfermer entre quatre murs et qu'on lui fasse subir des atrocités. Pendant neuf mois, je ne lui ai pas rendu visite une seule fois, je savais que je ne pourrais retenir mes larmes. Donc c'est Charles qui se rendait à l'hôpital. Il m'a dit qu'Alice avait mordu un médecin et étranglé une infirmière, jusqu'à la tuer.

Au bout de ces neuf mois, elle revint enfin. J'étais heureuse et apeurée à l'idée de la revoir. Je me rappelle encore voir le fiacre s'arrêtait devant la maison et apercevoir Alice en descendre. Elle semblait... calme. Puis peu après, tout redevint plus ou moins normal. Tout de même, elle restait enfermée dans sa chambre et posait rarement le pied dehors. Elle parlait très peu et se tenait correctement. Je me demandais encore si tout ce qui s'était passé n'était qu'un mauvais rêve... Une année passa. Alice reprit ses cours avec moi et son père.

Et puis un jour... ce ne devait pas se passer comme ça. Nous étions tous les trois, parti voir une représentation théâtrale. C'était le soir, je me rappelle encore de la brise du vent. La représentation venait de se terminer. Nous rentrions à bord du fiacre en direction de chez nous. Sur la route dans les bois, la brume cachai les arbres. Alice ne paraissait pas inquiète comparait à moi. Elle observait l'extérieur, silencieuse. Tout était calme, trop calme. C'est alors que l'on entendit les chevaux hennir. Le fiacre commença à accélérer. Le cocher nous hurla que les chevaux ont été effrayés par des chiens errants et qu'il n'arrivait pas à faire ralentir les bêtes et qu'il fallait descendre du véhicule même s'il était en train de rouler. Charles me prit dans ses bras, ainsi qu'Alice et ouvrit la porte. J'ai sautée en première et m'écrasa vulgairement au sol. Je les vis disparaître dans le brouillard. Puis j'entendus un hurlement. C'était Charles. Je ne voyais rien. Je criais à mon tour, avant de voir une silhouette se diriger vers moi. C'était un des chevaux. Il passa au galop devant moi, seul. Je redoutais le pire. J'attendais. Il n'y avait aucun bruit autour de moi. Je m'étais levée avant de commencer à marcher. Puis Charles cria mon nom. j'ai suivi sa voix et le retrouva à côté d'un ravin. Il avait une jambe coincé sous un rocher. Je m'approchais ensuite du ravin et vit un cadavre du deuxième cheval, ainsi que celui du cocher, mais pas la présence Alice. Je criais son nom. Pas un bruit. Les larmes me montèrent aux yeux, tandis que j'aidais mon époux à s'extirper de l'emprise du rocher.

Le lendemain, des hommes sont descendus au fond de la crevasse pour chercher d'Alice. Ils ne trouvèrent pas une trace. Je demandais à Charles ce qu'il s'était passé. Il m'expliqua qu'une roue du fiacre s'était décrochée puis le véhicule s'était dirigé vers le gouffre. Il avait lâché Alice sans le vouloir et avait sauté sur terre. Des recherches commencèrent pour retrouver Alice. La forêt fut explorée, Mais ils ne trouvèrent rien. Encore à ce jour, Alice a disparue. J'espère que là où elle se trouve, elle n'est pas en danger et que Dieu veille sur elle.
EN IRL ♥!
Et vous, donc, qui êtes vous ?
Votre pseudo: Ronron, Alice ou Mo'jito.
Votre Age: Blublublu.
Expérience RP: 1 an.
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Un commentaire ? Blablabla.
Parrain Blablablabla.
Code du règlement: Validé par Hurlement sauvage. '_' 

Fiche codé par Aetyhs, aussi appeler Lumière du jugement. Reproduction interdite en dehors de Né-Andarta



Dernière édition par Alice V. McWarren le Sam 14 Sep - 20:23, édité 2 fois
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InvitéAnonymous
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MessageSujet: Re: "Mieux vaut être que paraître." "Mieux vaut être que paraître."  EmptyJeu 29 Aoû - 11:05

Blablabla. Rien à dire, la fiche est super et tout est bon. Je te déclare officiellement membre des carreaux et reines de ceux-ci après accord du staff ! \o/
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