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| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Le salon n°1 Dim 17 Fév - 14:57 | |
| . Une douce odeur d'agrumes vient chatouiller vos narines, lentement, vous yeux s'ouvrent, laissant votre regard vagabonder dans ce salon douillet. Ce salon donc aux dimensions modestes ne fût décoré que dans la simple idée d'être un lieu reposant. Les murs aux tons pastel n'graissaient pas les yeux, la lumière tamisée rappelait un coucher de soleil et les meubles ne prenaient pas de place superflue. Un canapé d'angle pour épouser le coin du mur, une table basse séparant l'assise du visuel. Oui, un écran plat occupait le mur en face de la porte, celle ci se trouvant à la droite du canapé. Un mot est posé sur la table :
« Les divinités se haïssant le plus viennent à se retrouver liés pour mon plus grand divertissement ! »
Fortuna Dans un lieu si intime, si chaleureux, si propice aux sentiments amoureux, il est normal que vous aperceviez alors un être à vos côtés, votre partenaire du destin. Découvrez-le car vous devrez en sa compagnie accomplir trois étapes pour pouvoir sortir un jour de ce lieu. Un petit temps vous ai laissez pour faire connaissance avec la personne à vos côtés. Suite à cela l’écran haute définition s’allumera, mais pas avant. |
| | | Lumière du Jugement
| Sujet: Re: Le salon n°1 Dim 17 Fév - 18:25 | |
| . Lumière se réveilla en grommelant un son qui ressemblait à celui d’un ours des cavernes. Son crâne lui faisait mal, sans doute à cause de la boisson que Fortuna lui avait fait boire. Quelle peste, cette déesse ! Quel idée avait-elle eut de la réveiller ? D’accord, il avait trouvé ça drôle sur le coup d’utiliser les pouvoirs de l’autre pour forcer les gens à ce mettre en couple, mais là… Il soupira en regardant où il était. Un lieu classique, du genre salon, décoré à sa mesure… Sans doute Fortuna avait songée à ses gouts personnels avant de le mettre dans la pièce. Il chercha du regard s’il y avait Ombre, et entendit un grognement sur sa gauche. Supposant que sa femme était à ses cotés, il se tourna vers la source du bruit et utilisa sa main pour essayer de pelloter allègrement son épouse… Avant de se rendre compte qu’il manquait quelques choses au niveau du torse. Il tourna la tête et vit que celui qui se tenait à ses cotés dans le canapé était la personne qu’il ne pouvait plus encaisser depuis des années, Ordre…
« Qu’est ce que tu fais là toi !? »
Il dégagea d’un coup de pied le marmot du lit et le regarda chuter par terre avec un bruit du genre « Boum », puis il entreprit de lui écraser le visage par terre en criant :
« Fortuna ! Espèce de sale… Je croyais que tu devais me faire un rendez-vous romantique avec Ombre, pas que je devais jouer au baby-sitter avec ce marmot ! »
Il colla un deuxième coup de son soulier blanc immaculé sur le visage sale du marmot en question, et chercha un endroit ou passer sa colère, avant de soupirer bruyamment.
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| | | Ordre Funeste
| Sujet: Re: Le salon n°1 Dim 3 Mar - 1:25 | |
| . Mais qu'est-ce qui m'avait prit ? Fortuna... cette saloperie avait mit quelque chose dans le vin. Le vin, bon sang ! Ça me parait tellement évident maintenant que j'ai envie de me frapper la tête contre le mur. Comment j'ai pu me faire avoir, moi qui élaborais si souvent des pièges et des arnaques pour le reste de la fratrie ou même les humains... Je râle faiblement tandis que je commence à émerger. Je m'apprête à m'étirer mais je sens une... main ? J'ai à peine le temps de calculer quoique ce soit que j'entends cette voix, celle que je connaissais bien, celle qui rien qu'à son écoute me donnais envie de tout exploser autour de moi :
« Qu’est ce que tu fais là toi !? »
Me voilà au sol et cette enflure le piétine le visage en beuglant contre Fortuna. Je me prends un second coup, je hurle une grasse insulte à l'intention du vieux et me tenant le visage. J'ouvre ─ enfin ─ les yeux tout en m'asseyant sur le sol.
« Mais p'tain c'est QUOI ton probl... »
Je m'interrompt. Cette pièce... c'est... ? Je bondis sur mes pieds, prenant conscience de la situation. Du peu que je sais de la Déesse responsable de cette mise en scène, elle a toujours des idées... niaises. Ouais, c'ça. Pris d'un sérieux doute, je me jette sur la seule porte de la pièce. Je force, je tire, je pousse, je la frappe du poing, du pied, mais rien à faire. Bouclé. Avec Lui. J'étais donc, pour résumer, coincé avec Lumière dans un endroit dégoulinant d'amour à en vomir pour un temps indéterminé. Je crie à nouveau un juron et me tourne vivement vers le vioc en lui lançant un regard haineux.
« Mais POURQUOI, merde, POURQUOI il a fallu que tu réveilles cette pouffe, là, hein ?! Maintenant on est BLOQUÉS dans cette salle GERBANTE par TA FAUTE. »
Je m'approche de quelques pas, crachant toute ma rage. Je le déteste encore plus maintenant. Et... j'avais un mauvais pressentiment quant à la suite des événements. |
| | | Lumière du Jugement
| Sujet: Re: Le salon n°1 Dim 3 Mar - 15:41 | |
| . Il piquait une crise de colère envers tout et n'importe quoi, surtout toi, et tu te sentis obliger de le frapper pour qu'il se calme. Ton soulier blanc atterit dans son bide avant de remonter à sa machoire, et tu soupira en le voyant tomber au sol.
« Crétin. Sert toi de ta tête au lieu d'emmerder le monde.»
Tu alla ensuite vers le bar et te servit un verre de Whisky écossais fort, que tu sirota en regardant ton envirronement. Le luxe du lieu te poussais à te poser des questions sur le lieux, et les gouts de Fortuna. Cette déesse était si spécial...
"Enfin bon, je suis d'accord avec toi qu'elle est conne. Me coller un marmot dans les bras, comme a un baby sitters... Elle a dut se tromper entre Dedy et moi."
Tu sortit ensuite un verre que tu remplis de lait et tu le tendis gentiment au marmot celeste. Pas de poison ou autre, mais une reflexion assasine pour tuer le temps, car tu t'ennuyais royalement :
"Ca te fera grandir, comme ca. Tu feras moins nain de jardin."
Tu t'ecartas ensuite et cherchas un truc a faire. Mais rien de ce qui se trouvait dans ce salon suintant l'amour et la bonté ne te tentait, et tu finis par t'asseoir sur le canapé en soupirant :
"Putain, quel ennui..."
Rien pour te distraire, tu ne pouvais même pas utiliser tes pouvoirs pour torturer Ordre. Le soupir sortit naturellement de tes lèvres et tu entreprit de te rhabiller en réajustant tes vetements dans la glace a ta disposition. Ta cravate blanche et ton haut de forme correctement remit, une question vit à ton esprit et tu ne put t'empecher de la poser tout haut, pour avoir l'avis du petit Dieux:
"A ton avis, faut faire quoi pour se tirer d'ici ?" |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le salon n°1 Jeu 7 Mar - 20:33 | |
| . Elle était assise dans la grande salle et riait à l’écoute des voix appartenant aux participants. Les jambes croisées, le kimono tombant de chaque côté des chevilles, elle sirotait un cocktail au goût de pêches.
« Ces insectes sont tellement divertissant ! C’est partit ! »
Et d’un doigt, orné d’un ongle acéré laqué d’or, elle appuya sur un bouton rouge. Il y eu un vrombissement technologique et l’écran face à vous s’alluma.
Le rire de Fortuna résonnait encore quand la lumière vacilla et que vous n’êtes éclairé que par l’écran.
« Mon premier jeu sera simple… Mais drôle, pour moi. Vous devrez… Mimer un objet, ou autre chose, même dans le but de le faire devenier à votre partenaire… Et vous échangerez vos rôles après, bien sur ! Un petit couple bien ambivalent… Hihihi… »
Après ces courtes explications sur votre premier défi, vous entendez alors votre hôte chantonnée.
« Grouillez, grouillez petites fourmis ! La roue n’a pas cessé de tourner ! »
Ce fut à la fin de cette comptine qu’une petite voit s’éleva dans les têtes des participants désignés pour commencer le jeu en premier et ils purent entendre trois petits mots :
« Tente ta chance. »
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| | | Ordre Funeste
| Sujet: Re: Le salon n°1 Dim 14 Avr - 9:23 | |
| . Je m'écroule, encore une fois, au sol. Il m'a collé son pied dans mon bide puis dans ma tronche. L'enfoiré. Pendant que je me tiens le visage, l'autre me fait la morale. Je me relève rapidement, les poings et les dents serrés à me les exploser. Il est déjà parti picoler. Bah, qu'il se bourre la gueule,ça sera plus simple de lui écraser sa bouteille sur la figure... Il reprend avant que je puis faire autre chose :
« Enfin bon, je suis d'accord avec toi qu'elle est conne. Me coller un marmot dans les bras, comme a un baby-sitter... Elle a du se tromper entre Dédy et moi. »
« Non mais VA CREVER ! »
Ces mots s'échappent tous seuls. Faut dire qu'il me cherche, hein, on est d'accord ? Donc il pourra pas se plaindre s'il se retrouve déchiqueté avec les dents. Avec SES dents. Je tente quand même de me calmer un peu, ne serait-ce que pour ne pas faire plaisir à cette pouffe de Fortuna. Et puis...
« Ça te fera grandir, comme ça. Tu feras moins nain de jardin. »
Je me retrouve comme un con avec le lait dans la main. C'en est trop, je le balance en direction du vieux qui a commencé à s'avancer jusqu'au canapé ; mais plutôt que de lui fendre le crâne mon projectile va se répandre sur le mur, dispersant éclats de verre et gerbes laiteuses. Il s'assoit, il s'en fout. Même, il soupire en ajoutant qu'il s'ennuie. J'avais envie de prendre la table pour lui briser les os. Mais ne voulant pas lui faire ce plaisir, je me contente de souffler en croisant les bras. Combien de temps je vais devoir rester avec... ça ? Je commence à m'interroger, perdant peu à peu patience. Je marche un peu dans la pièce en étirant mes muscles pendant que le monoclard réajuste ses vêtements. Il a vraiment que ça à foutre... Au bout d'un moment sa voix qui m'agace tant perce le silence nouveau :
« À ton avis, faut faire quoi pour se tirer d'ici ? »
Tout en m'arrêtant je le regarde d'un air légèrement blasé.
« COMMENT je suis sensé le savoir crétin ? C'est toi qui connaît le mieux cette cruche de déesse, ce serait plutôt à TOI de nous sortir de ce merdier. Et puis je f'rais remarquer qu... »
Je suis interrompu ─ ce que je peux détester ça ! ─ par le changement brutal d'ambiance. Les lumières baissent et la télévision s'allume. Et c'est là qu'apparaît Fortuna, que je haïssais à présent. Elle nous sort son speech aussi gerbant que ses goûts en matière de décoration. Un mime ? Un MIME ? Elle se fout de notre gueule... Quand tout redevient normal, je me retourne vers le vioc.
« C'quoi c'bordel ? » |
| | | Lumière du Jugement
| Sujet: Re: Le salon n°1 Sam 20 Avr - 8:15 | |
| . L'autre osait lui demander ce que c'était que cette connerie, à Lui, le seul et unique Dieu utile dans ce panthéon de despotes et de traitre. Oui, ce gamin maigre et sale, violent, vulgaire, stupide, jaloux, vaniteux, osait lui répondre. Lumière songea qu'une correction s'imposait avant de soupirer bruyament et d'hausser les épaules. Non, il ne s'abaisserait pas à cogner pour la deuxième fois de la journée ce marmot plat et insipide.
« Je ne sais pas, imbécile. Je supose que c'est ce que la déesse avait prévu des occupations pour les gamins comme toi... Tu sais, comme dans les garderies..."
Il retourna au bar et se reservit un doigt de whisky ecossais, tout en surveillant du coin de l'oeil le marmot, en soupirant doucement. Ce sweat à la couleur si agressive n'allait pas avec le luxe et le faste du lieux. C'est comme mettre un singe en costume, se dit Lumiere en sirotant doucement l'alcool qui se trouvait dans son verre. Cela n'etait tout bonnement pas envisageable.
Le roi des Dieux reposa doucement son verre sur le bar, et, tout en se tournant vers ce mini-dieux agressif et sans manière, il designa la porte d'entrée verrouillé en soupirant. Au cas ou l'autre ne comprenait pas le message, c'est à dire si il était demeuré, le roi des dieux cru bon d'ajouter en marmonnant:
« Allez, bouge toi, gamin. Presente donc ton mime pour gosse, qu'on en finissent et que je puisse retrouver ma douce Ombre pendant que tu jouera à la poupée dans ta chambre... Et au fait, faudra que tu nettoie le mur que tu as sali en essayant médiocrement de m'atteindre... Puisque tu ne sais pas viser... Enfin, on ne t'en demande pas trop non plus, mon pauvre... "
Il soupira et agita doucement le verre en direction de la tache laiteuse, avant de fixer Ordre dans les yeux, le mettant au défi de réagir grace à un simple regard.
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| Sujet: Re: Le salon n°1 | |
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