J'étais la assis sur une chaise en bois très inconfortable jouant avec une pièce devant le bureau de cette femme une certaine madame Juno, une psychiatre que le tribunal m'avait ordonnée d'allais voir suite a quelque problème rencontré.
La salle était vide de tout intérêt, il n'y avait que pour seul meuble le bureau de cette femme avec tout ça paperasse qui s'étalais dessus et son ordinateur qui était manifestement éteint, une armoire pleine de dossier avec des noms inscrits dessus et un tableau de très mauvais gouts sensé représenté une rivière. Elle était la entrain ranger ses papiers m'oubliant à moité, il lui fallut cinq bonnes minutes avant qu'elle finisse par s'intéresser à moi.
Elle commença à me fixer du regard, je la fixais à son tour ne comprenant pas pourquoi elle faisait ça, il fallut une minute avant qu'elle ne brise le silence :
-Mademoiselle Scotwill, Cathy Scotwill, c'est bien ça ?
-Tout à fait.
-Enchantée, je suis madame Juno, sais-tu pourquoi tu es là ?
-Je suis ici à cause de mon problème avec les hommes.
-Bien, parle-moi un peu de toi si tu le veux bien.
-Vous voulez que je vous dise quoi, déjà que je ne comprends pas l'utilité de ce rendez-vous.
-Je suis là pour t'aider alors essaye de jouer le jeu et puis si tu me parlais de t'a vie.
Je la dévisageais de nouveau tout en lâchant un soupir ne comprenant toujours pas en quoi cela pouvait m'aider, pourtant, je finis par jouer le jeu :
-Je suis née à Londres le vingt-trois juillet mille neuf cent quatre-vingt-seize dans l'un des plus grands hôpitaux de la ville.
J'eus a peine le temps de finir ma phrase qu'elle me coupa :
-Donc tu as dix-sept ans ?
-Bien évidemment, informer vous mieux la prochaine fois.
Je repris sans attendre mon discours ne lui laissant pas le temps de répondre.
-Peu après ma naissance mes parents Blake Scotwill un riche homme d'affaires et ma mère Haruna Tsuyoku une femme, tout ce qu'il y a de plus normal qui fut élevé par une famille très portée sur les traditions décidèrent de venir s'installer dans une villa de la ville de Chiba ville ou a vécu ma mère.
J'ai eu une enfance des plus agréable j'avais toute ma disposition des domestiques a mon service, des repas dignes de restaurant 5 étoile, j'allais dans les écoles les plus prestigieuses de la région, mais des mon plus jeune âge, j'avais un problème va-t-on dire avec les hommes au début ce n'était que de la peur vue que je n'étais qu'une pauvre enfant sans défense, mais au fur et à mesure des années ce sentiment de peur s'est transformé en un sentiment de dégoût, j'irais même jusqu'à dire un sentiment de haine. Mais parents durent me mettre dans une école réservée aux filles, certains de mes domestiques furent renvoyer et furent remplacer par d'autres qui sont bien évidement des femmes.
Quand j'eus fini ma phrase, elle me regarda une brève seconde puis se mit à écrire sur une feuille, elle devait sans doute être entrain de dresser un portrait mental avec les informations que je lui avais donné. D'un coup s'arrêta d'écrire sans doute devait-elle avoir fini, elle recommanca à me fixer cette fois si les yeux quelque peu plissé comme si elle espérait voir à l'intérieur de moi, au bout de quelque seconde elle s'arrêta et recommença a écrire avant de me poser une question:
-Pourquoi cette haine envers les hommes ? Avez-vous eu un traumatisme étant plus jeune ?
-Comment faites, vous appréciez la vue de ces porcs, ils sont laids, mal élevé et ne sont bon qu'à mettre le bazar et à faire du mal à nous les femmes. Si je pouvais, je les exterminerais tous. Et pour répondre à votre autre question non, je n'ai subi aucun traumatisme à ce sujet.
-Sans les hommes, nous ne serions pas là ou nous somme actuellement et cela voudrait-il dire que vous avez une attirance pour les personnes du même sexe ?
-Sans les hommes, nous aurions peut-être pu éviter une à deux guerres mondiale qui sait, et je n'éprouve pas de réelles attirances envers les personnes du même sexe, c'est juste que les hommes me dégoûtent.
-Comment faite, vous avec votre famille, votre père ?
-Mon père est est le seul homme que j'arrive a supporter et encore nous avons de nombreuses prises de bec et certaines sont des plus farouches.
-Hm, je vois, je vois veuillez poursuivre.
-À mes quatorze ans ma mère m'initia au sõjutsu l'art du maniement de la lance et du yari, c'est une tradition qui se transmet de mère en fille depuis des génération et ne voulant pas faillir à la règle je m'i suis essayer et je me suis découvert une passion. Je ne peux l'expliquer juste le simple fait d'avoir Shime, mon yari dans les mains me procure du plaisir. Depuis je m'entraine tous les jours en plus des cours trois fois par semaine et grâce a cet entrainement, je suis devenu championne de la région. Le sõjutsu fut très bénéfique pour moi j'arrive maintenant a supporter la présence des hommes autour de moi-même si il doivent garder une certaine distance si il ne veulent pas mal finir, cela m'a permis de me rapprocher de ma mère mais aussi de m'éloigner un peu de mon père. Il n'était pas d'accord au début, il disait que cela n'est pas fait pour une dame de mon rang ce que je peux comprendre, mais je ne pouvais pas décevoir ma mère. Heureusement que mon père a fini par accepter ma passion, il voit toujours ça d'un mauvais œil, mais il me laisse tranquille ce qui est l'important.
-Qu'elle est le métier de votre père ?
-Je ne sais pas, a chaque fois que ma mère où moi aborde le sujet, il ne veut pas répondre ou encore, il dit qu'il ne veut pas mélanger la vie de famille et le travail pourtant depuis trois ans, il organise des réunions avec ces collègues dans notre domicile.
-Où se passent ces réunions ?
-Dans le salon secondaire, nous ne l'utilisons jamais sauf en cas de très grande réception.
-Je vois continuer, je vous pris.
-Hm, je ne vois pas ce que je pourrai dire de plus juste que j'ai était victime de tentative d'agression trois fois.
-Vous le dites d'une façon, on dirait que c'est normal pour vous.
-Quand je dis agressions, je veux dire que la personne à poser la main sur moi-même pas frapper juste toucher et souvent dans des zones qui dépassent largement la limite de l'acceptable.
Quand j'eus fini ma phrase, un lourd silence s'installa, elle se remit à écrire avec la même concentration que la fois précédente, mais sa concentration fut déranger par un bruit, le bruit de quelqu'un qui frappais à la porte, elle releva la tête se mit à regarder la porte et dit d'une voix forte "entrée".
La porte s'ouvrit et la tête d'une femme surgit de l'ouverture, elle regarda madame Juno et dit d'une voix douce :
-Votre prochain patient est arrivé madame.
-Oh oui, je n'avais pas vu l'heure merci de m'avoir prévenu.
-De rien.
Elle partit ferment avec la délicatesse la porte. Je compris aussitôt que le rendez-vous était fini quand madame Juno se leva, je me levais à mon tour faisant attention a bien remettre la chaise puis je me dirigeais vers la porte ou m'attendais Juno, elle ferma la porte quand j'eus passé elle me serra la main me fit un signe de tête et partis, je partis à mon tour, en sortant du bâtiment une limousine est une chauffeuse m'attendait sur le parking, je pris place dans le véhicule et je repartis chez moi.
Arrivée chez moi ma mère me questionna sur comment c'était passé mon rendez-vous et quelle question on m'avait posé. Je lui répondis sans trop détailler, je ne voulais pas perdre plus de temps pour faire mon entrainement.
-Le lendemain en fin d'apès-midi-
Il était dix-huit heures du soir je sortais de mon entrainement de sõjutsu qui avait durer plus longtemps que prévu, avec mon yari d'entrainement dans le dos je décidais de passé par les petites ruelles du centre-ville qui sans aucun doute aller me permettre d'arriver plus vite et de pouvoir commencer mon entrainement.
Je m'engageais dans la première ruelle tout en jouant avec ma pièce, elle était sombre et celles qui suivaient étaient dans le même cas, tout en trottinant, j'avançais de ruelle en ruelle quand arriver au dernier tournant se trouvait trois hommes qui me barraient la route, ils étaient trois l'un plus grand et plus avancé que les autres sans doute les chefs quant aux deux autres, il était bien plus petit que leur chef et faisait à peu près la même taille. N'ayant pas que ça à faire, j'avançais sans me soucier d'eux quand le plus grand me prit par le bras me regarda d'un air des plus dégoûtant et dit :
-Mais qui voilà, c'est la fille de Scotwill, ton père nous donne beaucoup de boulot, tu sais ? Si on se permettait un petit extra.
Il resserra l'étreinte autour de mon bras et me plaque contre le mur derrière moi, il rapprocha son visage du mien me regardant avec de grands yeux, son haleine qui sentait la cigarette venait s'abattre sur mon visage, il posa ça main sur ma cuisse et commença à caresser ma cuisse. Au moment, il posa ça main sur ma cuisse, j'eus un comme un réflexe, je le pris par le col et le fis tomber par terre avant de m'élancer derrière eux. La plus grande sortie un couteau de sa poche et se rua sur moi avec ces deux acolytes, je fis un pas de coté tout en dégainant mon yari, je me mis en position face à eux la pointe en bois de mon arme pointé dans leur direction, le plus grand se rua sur moi couteau pointé vers moi j'esquivai le coup en faisant un pas de côté puis je lui assénais un coup d'estoc qui le stoppa net dans sa course et je lui abattit mon yari avec violence sur le haut de son crâne ce qui l'assomma sur le coup et le fis saigné abondamment de la tête.
Le plus grand neutralisé, je me tournis vers ces deux acolytes, je bondis sur l'un des deux, tout en lui portant un si violent que jambe se brisa sur le coup, le dernier tenta de s'enfuir, il se retrouva dans un impasse, il était totalement apeuré et en sueur, je le plaquai contre le mur avec force puis je lui demandai :
-Qui est-ce qui t'envoie ? Qu'est-ce que tu me veux ? Dis-moi tout !
Le malotru me regardait apeurer et bafoua :
-Je ne te dirais rien, tout sera réglé ce soir de toute façon et tu payeras pour ce que tu nous as fait.
Il tourna la tête pour montrer son refus de coopérer, je compris assez vite que je ne pourrai rien tiré de lui, je le pris par le col et le lançai avec force contre le mur, il vint s'écraser face la première contre la surface ce qui le fit saigner du nez, tentant de reprendre ces esprits, il s'écarta du mur, mais a peine, c'était, il retourné que je lui assénai un puissant coup dans les côtes ce qui le mit a terre sur le coup.
Tout en remettant mon yari dans mon dos je regardais les malotrus qui gisait par terre il avait de la chance que j'avais mieux à faire sinon je leur aurait bien mieux réglé leur compte, je repris mon chemin tout enjambant leur corps, a peine sorti de la ruelle je vis ma maison en face de moi sans perdre de temps j'entrais chez me dirigeant en direction de ma chambre saluant au passage les domestiques que je croisais. Arrivé dans ma chambre je posais mon sac sur mon lit qui fit peur a shiro ma chatte blanche qui dormait sur mon lit, je la caressai un peu pour la rassurer et aussi car elle adorait ça.
Quand j'eus fini de la caresser elle se remit position pour dormir, confortablement installée sur mon lit, je me dirigeai vers le fond de ma chambre ou se trouvais une armoire je l'ouvris et sur le côté à droite se trouvait Shime mon yari, avec ça hampe noir mesurant un mètre quatre-vingt-dix et sa pointe comportant deux lames sur les côtés il était bien plus grand que moi et je le trouvais magnifique fais spécialement pour moi il m'a était offert par ma mère lors de mes quinze ans que j'attrapais d'un geste vif, je fermais l'armoire et me dirigeai vers le salon secondaire là où se passait actuellement une réunion de mon père, je ne l'avais pas vu ce matin avant de partir, je voulais passer le saluer avant de partir m'entrainer. Arriver devant la porte du salon, j'eus un moment d'hésitation, je me demandais s'il allait bien réagir ou pas si je venais le déranger en pleine réunion, mais n'ayant que faire de ça possibles réactions, j'ouvris la porte :
-Je vous souhaite bien le bonsoir......
- Explicite:
Ce que je vis à ce moment la ressembler à un cauchemar des femmes mortes qui baignaient dans leur sang et dans je ne sais qu'elle autre liquide était eparpillé un peu partout dans la salle et en plein milieu de la pièce se tenait ma mère à quatre pattes les vêtements déchirés le visage amoché et dégoulinant d'une substance blanchâtre que la simple vu me faisait me sentir mal, se trouvait à côté d'elle un homme sans nul doute un collègue à mon père, habillé d'un costume gris sexe en main le visage tiré par un sourire, il regardait mon père qui se trouvait à sa droite et lui fit un geste de la tête, père fouilla dans la poche intérieure de sa poche et en sortie un pistolet et le pointa vers ma mère, au moment où il sortit l'arme, j'entrais en lui hurlant d'arrêter, mais il était déja trop tard la détente avait était pressé et la balle vint se loger dans le crâne de ma mère, je vis sont corps sans vie tombée sur le sol sans se relever.
Père laissa l'arme tomber par terre et me regardais d'un air apeuré, il balbutia :
-Cathy, mais que fais-tu là.
Il prit un air encore plus apeuré quand je me mis à avancer vers lui avec la tête légèrement abaissé ce qui l'empecher de voir mon visage, un homme ressemblant a un primate de par sa taille vint se placer devant moi pour m'empêcher d'avancée plus.
-Chérie ce n'est pas ce que tu crois, je peux tout t'expliquer fais moi confiance.
-Tais-toi, je ne veux plus t'entendre.
-Comment tu parles à ton père voyons.
Quand j'entendis le mot père, j'eus comme un déclic, je relevais la tête, et il vit mon visage qui le tétanisa sur place, je pleuré à grande larme, mais j'arborais un grand sourire le même sourire que tous les jours et je le fixais d'un air joyeux et je dis d'une voix calme :
-Je n'ai pas de père.
Ces mots prononcés, je me ruais vers mon père renversant le singe qui me bloquait la route, j'entendais les cris de l'homme que je venais de faire tomber, mais je n'avais que faire serrant encore plus fort Shime dans ma main, je me ruais à toute vitesse vers cet homme qui avait tué ma mère, des personnes se jetèrent sur moi pour tenter de m'arrêter, mais aucun ne réussit à stopper ma charge.
Arrivé devant mon père, il recula, mais buta sur le corps d'une femme qui gisait derrière je m'approchais de lui d'un pas lent, il tenta de reculer, mais je lui plantai Shimé dans pantalon ce qui l'empêcha de bouger plus, arrivé au niveau de son ventre, il commença à me supplier de le laisser partir, mais ces mots ne m'atteignaient pas, je le regardais toujours avec le même visage plein de larmes avec se sourire en pleins milieux et je lui dis :
-Si on m'avait dit que la première victime de Shime serait mon père, je ne l'aurai pas cru.
Son visage se déforma quand il étendit ces mots, j'enlevais Shime de son pantalon, je brandis mon arme pointe vers lui, je marquais un temps de pause, je le regardais gesticuler et hurler et cela m'a donné un malin plaisir. Quand je vis les primates foncés vers moi, je décidai d'en finir, je serrai encore plus fort Shime et j'abattis la lame dans son cœur, il stoppa sur le coup de bouger et le calme s'installa ces collègues, c'était arrêter net horrifié par le geste que je venais de faire.
Je me tournis vers eux tout en retirant mon yari de ça poitrine et en séchant mes larmes, j'avançais vers eux tout en les fixant ils étaient trois tous à peu près de la même taille mais assez musclé, il reprirent leur charge et m'encerclèrent.
Ils étaient la autour de moi, celui qui se trouvait en face lança les hostilités en premier en tentant de me mettre un coup-de-poing, j'esquivai le coup d'un simple mouvement de tête et je lui infligeai un coup dans les abdominaux avant de lui trancher la gorge. Sans perdre un instant, je bondis vers un autre qui fut surpris, il eut a peine le temps mettre ces poings pour se protéger que je lui tailladais les jambes avant de le planter en pleins milieux du torse. Le dernier me regarder toujours avec le même regard déterminé, on se fixa un petit temps avant que je m'élance sur lui, il évita le coup que je lui avais destiné puis tenta de me déstabiliser avec un coup-de-pied sur la jambe gauche, mais il fut vite déçus quand j'eus paré son coup et que je me mis à lui transperscer le jambe, il tomba à genoux de douleur tout en criant, je décidai de lui abréger ces souffrances en lui plantant de toutes mes forces Shime en plein de milieux de son visage. Mon yari planté dans son visage le silence s'installa de nouveau je sortit mon arme de son visage puis je me dirigeais vers le corps inanimé de ma mère je sentis les larmes revenir quand tout à-coup je vis une lumière éblouissante au dessus de moi je n'en croyais pas mes yeux il s'agissait de l'esprit de ma mère elle me regardais avec plein de tendresses j'eut a peine le temps de comprendre ce qui se passer que son fantôme me parla:
-Ne pleure pas voyons ou et passé la fille forte que j'ai élevée ?
Tout en écoutant son discours, je séchais mes larmes.
-Tu n'es pas fait pour ce monde Cathy, mais si tu veux, je connais un endroit où tu seras peut-être plus a t'a place, mais ce monde n'est pas de tout repos, il faudrait que toi sois forte et que tu ne perdes pas espoir et surtout, il faudra surement que tu coopères avec des hommes si tu veux pouvoir vivre en paix, alors acceptes-tu ?
Elle tendit sa main blanche et transparente vers moi, j'eus un moment de réflexion, mais je compris qu'une offre comme ça ne pouvait se refuser, je mis Shime dans mon dos, je regardais si j'avais toujours ma pièce sur moi puis je pris la main de ma mère la lumière s'intensifia jusqu'à ce que je ne voie plus rien. Je partais pour un autre monde.
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