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| Sujet: The Moon is a bitch ♪ - Midnight Careless - Jeu 24 Oct - 15:26 | |
| . Midnight Careless [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] | En bref et en gros ♪ Noms: Careless Prénom: Midnight Age: 17 ans Taille: 1m75 Poids: 58 kg Sexe ♂ Origine: Anglaise Clan: Partie réservé aux Administrateurs ♥ Loisir: Se pomponner, la danse, rendre les gens complètement fou jusqu'au suicide
Epoque d'origine: Actuelle Centre d'intérêt: Lui-même,les vêtements classes, la folie des autres Aime: Lui. Deteste: Les autres.
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Ne baves pas, tu vas me salir. ♪ Quoi ? Pourquoi vous me regardez avec des grands yeux éberlués ? Mais arrêtez bon sang ! Je sais que je suis beau, mais ça devient stressant… Comment ça, mon style est spécial ? Vous savez ce que c’est au moins, le style ? Oui ? Bah on ne dirait pas… En tout cas, moi, je suis la classe incarné. Admirez mes fines épaules où tombent mes cheveux noirs et mes belles mèches lunaires, qui au passage, encadre mon magnifique et doux visage. Mes yeux rubis vont tellement en accord avec mes lèvres pulpeuses surmontées de rouge à lèvre noir. Dieu que je suis beau ! Je pourrais parler pendant des années de mon sublime visage, mais n’oublions pas le reste de mon corps, tout aussi superbe ! Pour aller avec le reste de mes vêtements, j’ai accroché l’ancien collier de mon chien autour de mon cou. Et comme j’ai le souci du détail, j’ai accroché des bracelets à piques sur chacun de mes poignets. Pourquoi ? Mais gardez vos questions, bon sang, laissez moi finir. Ma veste, hum. Elle me va bien, encore heureux. J’ai arraché moi-même les manches pour laisser mes bras à l’air libre, ils sont si bien sculpté, ce serait du gâchis de ne pas les montrer. Quand il fait froid ? Je mets une grosse écharpe en fourrure, aussi blanche que la lune. Juste pour le fun, j’ai accroché un morceau de tissus bleuté sur mon bras droit. Un vieux pan de la robe d’une domestique, je lui avais arraché avant de la faire envoyer à l’hôpital. Et vu qu’il y en avait beaucoup, j’ai usé du reste pour m’en faire une sorte de ceinture. Eh oh, relevez un peu votre regard ! Pardon ? Mon pantalon ne vous revient pas ? Pourquoi ? Le orange flash et les rayures noirs font pensés à un tigre… d’accord. Je vais vous apprendre quelque chose : c’est le but. Il fallait bien que je montre mon côté félin, voyons ! Puis, admirez mes jolies bottes qui montent jusqu’au début de mes genoux, légèrement roses pâles, qui renvoient à mes yeux. De plus, mes petites talonnettes me permettent de fracasser les pieds des gens comme vous, qui me pose des questions stupides. Alors, vous voyez que mon style est loin d’être spécial ! Je suis juste quelqu’un d’original qui sait très bien s’habiller, pas comme vous. Eh ? Ne partez pas, revenez bon sang ! Je vais vous montrer le reste de ma garde robe ! Eh oh ! Je suis mauvais, et je ne me soigne pas. ♥ Je suis une personne tout à fait saine d’esprit, si on ne compte pas mes quelques tocs. Rien de bien grave, mais ils m’ont valut de nombreux internements, du haut des mes dix-sept ans. Vous voudriez savoir, hein ? Bande de petits curieux, je ne sais pas si vous le méritez. Enfin, au point où on en est, je veux bien vous faire grâce de quelques informations me concernant.
Déjà, sachez que je m’aime plus que tout, c’est important. Pourquoi ? Regardez-moi, vous comprendrez. Je suis aussi beau que notre merveilleuse lune, je suis resplendissant. Par contre, vous, je vous hais, de tout mon cœur, vous, êtres insignifiants et répugnants. Mais ne prenez pas ça de façon personnelle, bien sûr !
C’est donc tout naturellement que j’aime les vêtements, m’habiller et me pomponner. En plus du bien fait personnel, j’enrichis le reste du monde de ma beauté. Vous avez vu, comme je suis gentil malgré tout ? Hum ? Comment je me maintiens en forme ? Rien de plus simple. Une alimentation seine, et surtout, beaucoup de sport, de la danse en particulier, c’est tellement gracieux, reposant et ça me met en valeur.
En parlant de mes passions, il y a bien une chose que j’aime chez vous. Oui, je vous jure ! Et qu’est ce que j’aime, donc ? C’est simple : votre visage se décomposant d’horreur, votre voix qui me supplie de me taire car mes paroles sont trop tranchantes. J’ai un don, celui de lire dans les gens comme dans un livre ouvert, de voir leurs pires défauts comme leurs douleur intérieurs. Du moins ça marche souvent. Je ne sais plus pourquoi, ni comment cela avait commencé exactement. Jusque j’en ai pris conscience vers mes douze ans, quand, après avoir subit les brimades de ma cousine pendant mon enfance, j’avais trouvé l’une de ses failles. Elle pleurait dès qu’on s’en prenait à ses affaires, donc qu’ai-je fait ? Tout. J’ai tout saccagé, mis sous dessus dessous, arraché ses vêtements, bousillé ses draps Ce n’était que de la vengeance, mais quand j’ai vu ses larmes, son visage tordu par la tristesse, j’ai sentit un incommensurable plaisir traverser mes veines. C’est donc depuis cette prise de conscience, que je m’attèle à faire souffrir mon entourage pour mon plus grand bonheur. Rassurez-vous, je n’ai poussé que trois personnes au suicide et une dizaine à la folie.
Mais je ne suis pas fou. J’aime certaines chose que vous, vous trouvez abominable, et alors, chacun ses goûts ? Vous voulez parlez de ces junkies ? Hein ? On pourrait déblatérer sur leur manière de se conduire et de s’habiller, c’est plus grave que mes petits tocs ! Tocs ? Les autres ? Oui, oui, j’y pense. J’aime quand tout est ordonné selon ma manière.
Par contre, si vous OSEZ posez vos sales mains, m’effleurez ou je ne sais quoi qui résulte sur un contact humain, je ne donne pas cher de votre peau. C’est juste dégoutant, horrible, et j’en passe. Et le pourquoi du comment ne vous regarde pas. Ce n’est pas ma faute si je suis parfait et vous si horripilant, d’abord.
Allez, du vent, vous me fatiguez, ça devient frustrant. C'est ma vie, c'est votre souffrance. ♦ Cela devient usant, ce questionnaire sur ma personne. Oui, je m’aime et j’aime parler de moi, mais là, ça devient malsain. Mais soit, je vais tout vous dire, si c’est pour que vous me laissiez en paix. Enfin, non, je vais vous raconter le principal et le pourquoi je suis passé de l’autre côté.
Je suis né dans une petite demeure près des côtes anglaises, j’ai vécu près de mes parents jusqu’à mes dix sept ans. Mon père était comptable dans une grande société d’import/export et ramenait la plupart des revenues de la famille. Ma mère est morte lorsque j’avais deux ans, une très belle femme que j’ai toujours admirée. Bien sûr, mon paternel n’a pas attendu longtemps et m’a offert une horrible belle mère et une peste de demi-sœur. Heureusement que j’étais si parfait, ça équilibrait la balance. J’ai été choyé, gâté et traité à ma juste valeur, jusqu’à ce que cette vieille sorcière oblige mon père à m’envoyer en psychiatrie. Certes, j’ai poussé sa fille à se tuer, mais ce n’est pas moi qui tenais le couteau lorsqu’elle s’est ouvert les veines… Voilà la globalité ce qui s’est passé dans ma vie jusqu’à aujourd’hui, passons à certains détails plus ou moins important.
Premièrement, référez vous à ce que je vous ai déjà dit sur ma cousine. Le saccage de sa chambre et la jouissance de la voir pleurer. C’est sur cette base que j’ai continué à vivre. Passant du petit harcèlement à celui qui vous pousse à vous arrachez le cœur. C’est donc quelques mois plus tard, que réussi à atteindre ce résultat. L’harcèlement que j’avais porté à l’une de nos femmes de ménage, avait été succulent. La voir à mes pieds me supplier de me taire, d’arrêter mes terribles paroles, ses larmes déformer son joli minois et finir par se jeter par la fenêtre… C’était la bonne recette ! Les domestiques étaient mes premières cibles, la famille, je n’y pensais pas. Oui bon, la cousine, je ne l’aimais pas, donc elle ne compte pas. Ce qui était moins drôle, c’est qu’à chaque fois, je finissais chez le psychiatre et pire, en isolement quand l’une venait à se jeter d’un toit…
Mise à part cette passion, j’avais une vie plus que banale. J’avais toutes les filles et une bonne partie des garçons de la ville à mes pieds. Je passais le plus clair de mon temps à lire, à me balader et surtout à danser. Et au moins une journée entière à faire les magasins. Ah si, il y’avait bien une chose, qui m’a valu une haine profonde envers le contact humain. La mort de ma mère lors de mes deux ans. Elle était tellement douce, ses mains si fines et ses yeux si beaux, elle était aussi belle que moi. Je n’ai jamais aimé qu’on me touche, car depuis la mort de la seule personne digne de moi, les autres n’étaient que des débris. Ils l’avaient tué. Ils l’avaient éloigné de moi. Cette maladie l’avait rendue laide et dégoûtante, l’avait tué elle et sa beauté.
Une vie banale avec des mœurs peu commune.
Je crois, même, je suis sûre, que mes parents n’ont plus supportés ma génialissime présence quand ma passion a un tout petit peu débordé sur ma sœur. Mais ce n’est en rien ma faute ! Je la détestais à attirer l’attention avec ses bonnes notes ou sa jolie frimousse ! J’étais LA beauté de la famille, LE chouchou. Alors que cette sotte vienne prendre ma place ? JAMAIS. Elle était devenue la personne à abattre. Donc autant lié l’utile à l’agréable. Comment ai-je fait pour qu’elle s’ouvre les veines ? C’est simple comme bonjour. J’ai mis le feu à sa chambre. Publié son journal secret –remplit de mièvrerie-, à son école, détruit ses amitiés et fait en sorte que même nos parents la méprise. Ses notes avaient chutés considérablement, ses amis l’avaient abandonné et elle subissait des brimades tous les jours par tout le monde. Malgré l’année de dur labeur que j’ai passé à lui détruire sa vie, elle ne lâchait pas l’affaire, elle réussissait à remonter la pente que j’avais creusée. Je n’en pouvais plus, je passais ma vie à pourrir la sienne.
Y mettre fin, le plus vite possible.
Un soir, en bon grand frère, je suis allé lui rendre visite dans sa chambre. C’est fou comme elle m’aimait, c’est sûr qu’elle ne savait pas ce que j’avais fait, tant mieux. Je m’étais assis sur son lit, à ses côtés en posant un couteau près d’elle. Elle était mignonne avec ses grands yeux tout surpris et me demandait à quoi cette lame allait servir. Je ne lui répondis pas et alla la serrer contre moi. Doucement, je la félicitai de sa façon de tenir tête face à ses malheurs. Faisant une liste bien trop concrète de ce qui lui était arrivé. La serrant un peu plus fort, je l’empêcha de bouger quand elle voulut se dégager de mon emprise. Je continuais en rendant ma voix plus suave, envoutante et terrifiante, c’était assez drôle ce petit jeu, pour moi, du moins. Ma petite sœur était terrifiée, elle pleurait et tremblait comme une feuille, demandant pourquoi j’avais fait ça. Ce n’était pas clair ? Pas pour elle. Alors j’ai continué de parler, je lui ai dit ma haine pour elle pour finir par dire qu’elle n’était que mon ombre, une facette pourrie de ma réussite.
Enfin ! Elle avait craqué ! Elle me frappa assez fort pour se dégager de mon étreinte et attrapa le couteau. Une.
Deux.
Trois.
Plus de petite sœur.
Juste une marre de sang avec un cadavre au milieu.
La suite, vous la connaissez. Ma belle mère m’a fait envoyer dans un hôpital psychiatrique, loin, très loin d’eux. J’étais seul et il m’empêchait de faire tout ce que j’aimais. Je passais le clair de mon temps dans l’isoloir pour insolence, d’après eux.
Mais un soir, je pris conscience que tout cela ne pouvait plus durer, je ne voulais plus de ça. Je sentais la lune éclairer ma petite chambre et me redonner espoir. Je voulais sortir de là, et cela à n’importe quel prix.
Je ne pensais pas que mon vœu s’exaucerait si rapidement.
Et me voilà, tout pimpant devant vous, dans cet apocalyptique monde, laissant ma présence l’irradier de beauté et le rendre plus chaleureux.
Allez, dites merci. EN IRL ♥! [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] | Et vous, donc, qui êtes vous ? Votre pseudo: Midnight, pour vous ! ♪ Votre Age: 17 ans Expérience RP: 2 ans. Un avis sur le forum ? GENIAL Comment tu nous a connu ? ♪ Un commentaire ? I'M A FUCKING GOD, bande de larves ! *bras d'honneur et se casse* Parrain MOI DEDY. HUN. Code du règlement:
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