Eh bien, en ce qui concerne le physique, j'ai le teint assez pâle, mais pas suffisamment pour qu'on me compare à un macabé. Ensuite, mes yeux sont de couleur orangé mais comme je n'aime pas spécialement je met des lentilles de couleur rouge. Avec le orange, ça fais un léger mélange mais bon... Les cheveux? Ca, c'est une teinture! En fait, je les colorés en bleu si clair qu'on peu parfois s'imaginer qu'ils sont blancs. Hm... les fringues? Je met généralement toujours des vêtements similaires. Des chemises blanches, j'en ais à la pelletée! Bon, actuellement, je porte l'une d'entre elles, d'ailleurs, avec un pantalon sombre, un long manteau blanc... Je possède une écharpe verte bien douce, j'adore m'enrouler dedans tellement elle est confortable. Les chaussures blanches et les gants? Toujours! Oui, j'aime beaucoup le blanc, c'est tellement lumineux. Pas au point d'être flashy, mais, j'aime beaucoup.

+ Voyons d'abord les points positifs, vous voulez? Je dirais que je suis quelqu'un de plutôt tranquille, apaisant certainement. Je ne suis pas bien méchant non plus, au contraire. Il faudrait le vouloir pour me voir en colère, et encore! Quand je cris on dirais plus une sorte de chaton qui miaule. Quand je frappe? Limite ce sont des caresses. Non, vraiment... je ne suis pas fait pour me battre. Peace and love, hein? Enfin bon... Que dire de plus? Ah, oui, je suis tout ce qu'il y a de plus direct généralement. Je suis menteur, certes, mais quand il s'agit de donner mon avis sur un sujet en particulier, ou lors d'un sondage, je suis sincère. Optimiste aussi. J'essaie de voir les chose le plus po-si-ti-ve-ment possible.

- Voyons les points négatifs maintenant, d'accord? Souvent gamin, paresseux, long à la détente, comédien, menteur, mauvais joueur, borné, pourris gâté, sans parler de mon air hautin quand je croise un être humain que je ne supporte vraiment pas et ne vois que comme un moins que rien... Je déteste avoir tort et nierais toujours tout en bloc même si on m'étalais des centaines de preuves sous le nez. Je retournerais dans ma bulle et ignorerais le fait que j'ai tort. Ensuite, pourris gâté? Quand quelque chose ne me plait pas je trouve généralement le moyen de tout mettre sur le dos des autres, ces humains que j'ai du mal à supporter. De plus, j'aime avoir tout ce que je souhaite. Mais, je ne serais pas impoli pour autant. Paresseux? Je dors au moins 15 heures par nuit, voire par jour. Un peu narcoleptique sur les bords, je peux m'endormir n'importe où n'importe quand tant que je n'aurais pas eu mes 15-16 heures de sommeil quotidien. Mauvais joueur, tout simplement parce que je déteste perdre. Ca m'énerve. Je ne suis pourtant pas de ceux qui veulent à tout prie être premier partout...

Peut être vaudrait il mieux commencer par l'origine de ma haine envers les êtres humains? Bon, je vous rassure, mon enfance n'était pas horrible, elle était même plutôt tranquille. Presque. Mes parents étaient de modestes personnes, gentilles, qui prenaient soin de moi. Mon prénom me vient de mon père. Son arrière grand père, qui l'avait inventé. Le nom en revanche, provient d'un parent qui habitait autrefois sur le continent Américain. La descendance ayant décidé de quitter le pays d'origine, don j'ignore le nom, pour s'installer en France, pays qui avait l'air plus "tranquille". C'était plus simple puisque je suis fils unique, il faut dire. Simple? Seulement jusqu'à mes huits ou neuf ans! A force de sortir dans le jardin et de jouer, je rencontrais des petites bêtes qui passaient par là. Contrairement aux camarades dans la cour de récrée, ceux la ne me blessaient pas. Je m'amusais donc avec et ais commencé à abandonner l'idée de me faire de véritables amis. Les animaux étaient tellement plus rigolo. Je suis devenu protecteur aussi au fil du temps. C'est ce qui m'a valut un nombre de problèmes incalculables. Le pire étant celui ci;

Un jour, un groupe de gamin (plus vieux et grand que moi à cette époque) s'amusait à tourmenter un pauvre chaton perdu et blessé... Je me suis interposé, mais bon. Je me suis rapidement trouvé à terre avant que les affreux ne fuient les lieux du crime. Le félin était à moitié mort, je n'avais rien pus faire malheureusement. De retour chez moi, blessé, ma mère en avait assez de ma passion pour ces choses "dégoûtantes". Vexé, j'ai fugué. Encore des problèmes avec des mômes qui arrachaient les pattes d'une araignée. Horrifié, je voulais la récupérer, mais j'arrivais encore trop tard. Après une accumulation de problèmes du même genre, j'en avais assez, et j'ai fini par croire que les êtres humains, monstres sans pitiés, n'étaient tous que des sadiques qui feraient mieux de retourner faire mumuse sur les rails d'un TGV.

En bref, je me suis renfermé sur moi même et est définitivement bannis l'idée qu'un jour je puisse m'entendre avec les humains, même s'il peut y avoir quelques très rares exceptions.