21 pts30 pts25 pts41 pts28 pts


Rumeurs
• Il parait qu'Ordre Funeste déteste les instruments de musique car son frère Lumière jouait du piano très fort à l'heure de sa sieste quand il était petit.
• On raconte que lorsque vient la pleine Lune, on peut voir des Dryades dans la Forêt...
On murmure que LA SAINTE LAME NOM DE DIEU C'EST PAS RIEN est caché dans le Sanatorium... Et que celui qui prendra cette épée pourra commander au vent et vaincre les dieux... Info ou Intox ?
• Il se dit dans les couloirs du panthéon que Flore Ravageuse userait de rambourage pour améliorer ses formes.
Autres Rumeurs.
Notifications
• Pluie et nuage sont annoncé, avec des orages fréquents. Pensez à rester couvert et à l'abri de l'humidité qui favorise [b]les maladies.[/b]
• La forêt et la Ville sont affecté par la Pluie : la forêt est renforcée, les plantes semblent plus dangereuses et plus agressive.
• En ville, les monstres ont tendances à se montrer moins fréquemment à cause de la pluie.
• Le Monstre de Sable a disparu.
• Votre personnage peut être atteint de la fièvre Néandertalienne à cause de l'humidité. Cela peut être de votre volonté... ou de celle du staff. Son prochain rp devra être écrit dans un état fébrile, nauséeux. Votre personnage aura du mal à se concentrer et à communiquer avec autrui. Cette fièvre peut durer une semaine... Et peut entraîner la mort. La maladie croit en puissance les trois premiers jours, puis sa puissance diminue avec le temps.
Les Liens du Sang
Innokentiy
Fils de Evangeline
Sharon Chilton
Soeur de Sylver Gelidus
Merry Shark
Soeur de Seth Shark
L'Ingénieur
Meilleur Ami d'Atsuki Sengo et As de Trèfle.
Drusilla Giovanni
Ennemie d'Alexandro Derrechi
Maria Selimont
Amie de Sullivan Gordon et ancienne As de Trèfle.
Ruby Holsey
Soeur de Amber Holsey
Johanna Saddler
Mère de Leet Saddler
Mai Sun
Petite amie de Liang Tsao
Chad Stoneford
Demi-frère de Yuki Icesoul
Vladimir Dragomirov
Ex du chef des rebelles



 
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Mechanics sadism - SBS

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MessageSujet: Mechanics sadism - SBS Mechanics sadism - SBS EmptyVen 28 Mar - 21:59

Senseless Blacksabbat
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
En bref et en gros ♪
Noms: Blacksabbat
Prénom: Senseless
Age: 25 ans
Taille: 1m60
Poids: 53kg
Sexe
Origine: Anglaise
Clan: Partie réservé aux Administrateurs ♥
Loisir: Aucun

Epoque d'origine: Epoque actuelle
Centre d'intérêt: Son fils
Aime: Son fils
Deteste: Son ex-fiancé
The body demolishes
Je te vois dans ta cage, tourner comme une bête, tes ongles déchirant les parois de cette minuscule pièce. Ils ont tous peur de toi malgré ta taille. Tu n’es pas grande, pas petite mais dangereuse. Tu as beau avoir un visage d’ange, ce dernier ne suffit plus à leur donner confiance.

Tes cheveux améthyste tombent sur ton visage en cascade, pour cacher ta détresse, ils se terminent sur le haut des tes fines épaules, s’ils avaient été plus long, tu t’en serais lassée.

Rarement, tu daigne relever ce visage vers tes tortionnaires, mais quand cela arrive, tu leur offres un regarde glacial, malgré que tu ne sois dotée que d’un seul œil, pourpre. L’autre ? Rappelle toi, c’est seulement une grande cicatrice accompagnée d’un trou béant.

Le souffle saccadé, un ricanement funeste et  ton sourire fou le long de tes lèvres. Des gerbes de sang coulent le long de ton menton. Ce qui est cocasse ? C’est que ce n’est pas le tient. A genoux dans cette pièce blanche, crachant des morceaux de chair, tu peux admirer des corps inertes et ensanglanté allongés devant toi. Morts, tous morts et cela, c’est ton œuvre.
Ne t’insurges pas, je sais que ce n’est pas de ta faute, tu t’es juste défendue de ses hommes voulant t’enfermer de nouveau. Tu inspires une grande bouffée d’air et te relève, voyant cette porte ouverte, la liberté.  Mais tu n’iras pas loin dans ta camisole, dans tes vêtements d’interné. Tout en te mordant la lèvre, tu t’approches du montant de la porte en acier, cela sera parfait pour ce qui te traverse l’esprit, tu ne réfléchis pas plus, tu fracasse ton épaule contre, autant de fois que possible pour la déboiter. Un cri outrepasse tes lèvres alors que de ton épaule un « CRAC » sinistre se fait entendre. Gigotant comme une chenille sortant de sa chrysalide, tu envoie valser le vêtement geôlier en tenant ton membre meurtrit, il faut payer pour être libre. Mais la douleur n’est pas prête de passer, tu dois remboiter ton épaule. Le même système, le même mouvement, le même montant de porte, mais un cri plus douloureux, tu es fin prête à partir. Plus aucun habit ne couvre ton corps, la pudeur, tu ne la connais pas, tu souris de façon démesurée alors que tu sors enfin de ta cage, la liberté est à toi, tu ne la rateras plus. Aucune pitié, ceux ce montrant sur ton passage ne sont que des ennemis, égorge, étouffe et mutile, tue les ou ils te tueront. Le sang est devenu ton vêtement le plus courant, la haine ton heaume et la mort, ton arme.
Mais tu sais très bien que les mots sont vains, alors tu en es venu à récupérer des vêtements plus conventionnel, il ne faut pas qu’on te repère, car la seule chose que tu veux, c’est rentrer chez toi.  Doucement, tu enfiles tes affaires. Mise à part ta camisole, qu’as-tu mis pendant ces cinq dernières années ?

Malgré tout, tu es bien une femme car tu aimes cette nouvelle tenue si proche de celles que tu portais avant. Ton sourire prend des traits plus doux en te remémorant ce passé, celui où tu arborais ton long manteau aux couleurs des ténèbres et aux bordures d’or. Sur ton dos, tu portes approximativement le même, la différence est que sa manche gauche est arrachée, victime de tes folies.

Ah, tu as beau te trouver dans un grand bâtiment, celui-ci en reste psychiatrique, mais ne te plains pas car tu as pu dérober une sorte de pantalon près du corps tout aussi noir que la nuit et des bottines volés à une infirmière qui te vont à merveilles. L’infirmière ? Elle doit encore pendre, les pieds en l’air.

D’un coup, sans crier garde, tu éclates de rire et récupère ton sourire dément, pourquoi le souvenir de ces hommes te fait-il t’en rire ? Oui, je vois. Les pauvres fous eurent la stupidité de poser leurs mains sur ton corps, ils le trouvaient à leur gout, car tes atouts féminins sont l’une des tes plus grandes armes, et tu le sais, c’est pour cela que tu ris, le souvenir de les voir baigner dans leur sang, égorgés avec leur propre viscères, gueules ouvertes et l’expression la plus horrible encrées sur leurs visages. Tu ne veux plus qu’ils te touchent, alors tu entoure ta poitrine te bandages, ton seul haut.
Les gens te jugeront sur ta taille, ton joli minois et tes attributions féminines, mais tu sais que face à ta lame, ils lécheront tes bottes.

Un seul survivant. Toi.

Sortit de l’asile, tu marches comme si de rien n’était dans la rue, chantonnant cette chanson que tu aimes tellement :

“ […]

Can you feel my heart is beating

Can you see the pain you're causing

Can you feel my heart is beating

Can you see the pain you're causing

Blood, blood, blood, blood, blood, blood, blood, blood, blood, blood, blood, blood, blood keeps rushing

[…]”  


The devil increases
Jamais plus tu ne seras à l’abri, tu es ta propre faiblesse, le monde ton pire ennemi. Chacune de tes pensées se tourne vers lui, ton fils. Tu as beau hurler et pleurer, tuer et désespérer, tu sais bien que rien ne peux te faire retourner vers lui. Tu es seule, tellement seule. L'amour, l'amitié ou encore la fraternité, tous ces sentiments ont vécut en toi. Mais ils sont morts, remplacés par la haine, le mépris et la violence. Détrompes toi, quand je parle de ta violence, je ne mentionne pas celle dont tu usais envers tes amis, pour tes caprices, tes colères ou tes gamineries, celle-là n'est rien comparée à la nouvelle, mentale et physique, prête à ôter la vie d'un enfant si cela permet de revoir le tient ou encore de briser un être jusqu'à l'âme, le laissant se consumer de l'intérieur, tu tues aussi bien physiquement que mentalement.

 Regarde les, ces femmes qui jouent avec leurs enfants dans ce parc alors que toi, tu es seule sur ce banc, tes poings se serrant sur tes genoux. Oui, tu les hais car elles ont ce que toi tu as perdue. Ton visage s'assombrit, ton regard fixe le sol, la haine s’insinue en toi de nouveau. Toujours les même pensées, ces gens  t'ont volé ton ancienne vie et de cela, t'ont rendue folle. Malgré tout, tu restes fidèle à toi même sur certains traits de ton caractère; tu ne te laisses jamais marcher sur les pieds, prête à en démordre sur le coup. Le combat ne te fait pas peur car tu sais que tu le gagneras, même si pour cela, tu dois frapper ton adversaire dans le dos ou l'écraser de ton pied alors qu'il se trouve au sol. La pitié, tu ne la connais pas, elle te dégoute autant que ce monde.

 Bien sûr, tu n'es pas toujours dans des excès de folie, malgré leurs fréquences exagérés, et dans tes moments de lucidité, tu restes une personne à fort caractère, tu cherches les ennuis, quelque qu'il soit, tes lèvres ne sont jamais close pour dire ta vérité. Tu aimes ressentir ton pouvoir sur les autres, toujours à les prendre de haut, quelque soit la situation, même si tu as tort. Qu'ils essayent de t'arrêter, tu seras comment les massacrer.

 Un soupir traverse ta bouche alors qu'une dizaine de secondes plus tard, tu sens une chose percuter ton pied. Doucement, ton regard se relève et tu peux l'apercevoir, ce ballon de football. Tu finis par le prendre dans les mains, tu zieutes par dessus et vois un petit bonhomme s'approcher de toi, tu lui souris. Vous commencez à parler, tu le trouves mignon et polit. Puis il te demande ce fameux ballon. Tu te relèves, il te fait tellement penser à ton propre fils. Mais lui n'est plus là, ton sourire s'efface, laissant place à une mine de dégoût pur, de haine. Est ce que c'est ce sentiment qui te fais resserrer ta poigne ? L'effet de tes ongles sur le caoutchouc le fait éclater, laissant des débris de celui-ci dans ta main. L'enfant te regarde, les larmes lui montant aux yeux.

"Arrêtes de chialer gamin, cela ne te servira jamais à rien, ça fais jamais revenir ce que tu as perdu."

 Tu sais de quoi tu parles, tu en es la preuve vivante. Avec légèreté, tu pivotes sur côté et lance les restes du ballon à l'enfant. Vite, vite, sors de cet endroit grouillant d'enfants, les souvenirs sont trop douloureux. Ils ne doivent pas mourir, eux aussi.

 Demoiselle, ton passé forme ton présent, tu vis plus dans celui ci, tu n'es pas de ce monde. Car tu es intiment convaincue que tu pourras le retrouver, ce passé perdu. Fonces, tu n'as plus rien à perdre et tout à récupérer.

 Tes pas résonnent sur les allés pavées de la ville, les sourcils froncés, tu avances, toujours aussi déterminée. Au fond de toi, une flamme se meurt petit à petit, celle de ton espoir, il faut la raviver, il faut revivre. Tu le sais mais tu n'en fais rien, seule la détresse des humains t'apporte du bonheur car en faisant cela, tu es sûr de ne plus être seule à souffrir.

 Un condensé de rancœur à l'état pur, un désarroi grandissant, une violence sans borne. Senseless BlackSabbat, je suis la haine qui vit en toi, tu ne peux vivre sans moi, je ne peux vivre sans toi, nous sommes un tout.


«  […]

Brisé

Ce n'est pas suffisant ? Ça ne l'est pas

Mes impulsions destructrices ne s'accomplissent pas

Fragile, fragile... Qu'est ce qui est humain ?

Après tout, les poignets massacrés seront abandonnés

"Pourquoi ces yeux sont t-ils devenus obscurs ? " Je me le demande...

Quelqu'un me le dira ?

[...] »


The soul sobs
Ne pas être la seule à souffrir ? C’est le faire souffrir LUI.

Tu continues ta route, tu ne veux pas perdre ton temps. Ta mémoire ne te fais pas défaut, tu sais où il vivait, alors vas y.  Deux heures vous séparent, n’oublies pas que tu sais conduire et que voler une voiture n’est pas un problème pour toi. La rue d’où tu sors débouche sur un axe principal de ta ville. Ce n’est plus commun pour toi, toute cette agitation, ces autos et ces bus rouges à deux étages. Quel mauvais gout, je te l’accorde. Mais quand tu y regardes de plus près, tu aperçois un véhicule plutôt correct à quelques mètres sur ta droite. Dépêches toi, ils ne savent pas que la bête que tu es, est sortie de sa cage et prête à égorger n’importe quelle brebis qui lui tiendrait face.

Enfin, tu réussis à pénétrer cette voiture sans trop l’abîmer. Mettre le contact est encore plus facile. Tu démarres et tu t’enfuis de nouveau. Que cette liberté est bonne. Que ta vengeance prend de l’ampleur. Tes doigts se serrent sur le volant avec tant d’intensité que tu pourrais l’arracher. Cela serait embêtant, alors retient toi.

La radio est allumée lorsque tu sors de cette ville, une chanson retentit avec des légers grésillements. Tant de temps à ne plus pouvoir écouter des mélodies. Cette chanson te plait, tu t’y retrouves dedans.

« SAIL!

This is how I show my love.
I made it in my mind because
I blame it on my ADD baby.
[…]

Maybe I should cry for help
Maybe I should kill myself
Blame it on my ADD baby

Maybe I'm a different breed
Maybe I'm not listening
So blame it on my ADD baby

SAIL!
[…]

Lalalalala Lalalalalaoooo
Lalalalala Lalalalalaoooo

SAIL! »


Sifflotes, comme une personne normale pendant ce petit laps de temps. Car lorsque le moteur de ta voiture s’éteindra, une vie sera en danger. Une heure passe, le paysage défile. Des longues collines vertes, la boue et les vaches. Typique, ça t’arrache un sourire. Mais tu le perds quand vient la deuxième heure, devant toi se tient la maison que tu recherchais.

- Fini, fini, fini, fini…

La fin approche mais pas la tienne. Tu tournes la clef, tu ouvres la portière et sors. Dans un claquement de porte, tu marches vers la porte d’entrée. Ne fais pas attention à cette grande maison grise et délabrée, non, tu la connais de trop bien.

Frapper ? Sonner ? Non, défoncer. La porte en bois s’effrite et ne te bloque plus le passage.

Le silence règne, un silence de mort. Malheureusement, il n’est pas mort, alors tu entre dans cette bâtisse. Comme toujours, des bouteilles de bières brisées à terre, des seringues et autre objets de drogué. Cela te dégoute, car tu te souviens que c’est dans cette même pièce que tu rentrais tous les soirs, ton fils dans les bras.

Un bruit tue le silence, tu tournes ton visage sur la droite, dans une pièce annexe et là, tu l’aperçois. Son visage qui se tétanise, son corps de soulard qui tangue et tient on ne sait comment debout. Oh si tu pouvais lui arracher les yeux, les tripes et meurtrir son cœur comme il l’a fait avec le tient, tu le ferrais.

Attends ? Mais rien ne t’en empêche, en fait ? Fais-toi ce plaisir, alors.

Tue-le.

Doucement, tu t’approches de lui, le visage défiguré par un sourire de dément. Personne n’aurait pu prévoir l’hurlement qui se met à  transpercer ta gorge avant qu’il se mue en un rire. Il a peur, il tremble. Il sait de quoi tu es capable, il sait ce que tu as déjà fait.

Jamais tu ne devras oublier ton passé, car c’est lui qui forge ton avenir. N’oublies pas tes jeunes années où les gens disaient que tu étais une personne « normale ». T’es parents le croyaient, ils sont morts. Tes amis le pensaient, ils t’ont abandonné. Ton fiancé disait t’aimer, il va mourir. Ton fils, lui, tu ne l’as connu que peu de temps, car on t’a arraché à lui. Il ne sait sûrement pas à quoi tu ressembles et doit vivre seul, vu que son père est devant toi.

Il tombe à tes pieds, te supplies de l’épargner en disant qu’il n’avait jamais voulu ça.

- Tu m’as trompé avec cette poufiasse, tu savais ce que tu faisais. Elle aussi. Si je lui ai ouvert le ventre, c’était juste pour être sûre qu’elle n’attende pas de gosse de toi. Ce n’est pas de ma faute, si elle n’était pas coriace…

Malgré un ton doux, tes gestes ne sont pas en accord avec. Ton pied s’est enfoncé dans le visage de cette pourriture, tu le plaque par terre, en le frappant.

- MAIS il a fallut que tu me dénonces ! TOI ! Par ta faute, j’ai perdu mon fils, mon FILS. J’ai croupi dans cet asile, entre bourrage de médicament, chaise électrique ou pièce sans lumière ! C’EST DE TA FAUTE SI JE SUIS DEVENUE AINSI !

Et tu hurles de nouveau, tu hurles et enfonce une dernière fois ton pied dans le visage du père de ton fils. Il ne ressemble plus à rien, ou peut-être juste le déchet qu’il a toujours été. Tombant à genoux, ton visage devient inexpressif. De la culpabilité ? Oh non, non. Juste des regrets. Lesquels ? Qu’il soit mort si rapidement.

--- --- --- --- --- --- ---

L’air est frais ce soir, tu ne trouves pas ? Le bonheur se lit sur tes lèvres tandis que tu te mets à marcher loin de cette maison rouge. Si elle a changé de couleur ? Les flammes, ça compte ? Car tu n’as pas pu t’empêcher de te venger, même s’il était déjà mort. L’avoir pendu à la fenêtre ne t’avais pas suffit, il avait fallut que tu brûles cette maisons et les souvenirs qu’elle abritait.

Pas besoin de reprendre la voiture, car tu ne sais pas où tes pas te mèneront. Ce que tu veux maintenant ? C’est de retrouver ton fils, à tout prix. Rien ne t’arrêtera.

Tu t’enfonces dans la nuit noire, la lumière de ton cœur s’est éteinte il y a fort longtemps. Mais depuis, tu sais voir à travers les ténèbres. Non, mieux. Tu es devenue les ténèbres.

Pries, les dieux sont de ton côtés. Ils t’entendent.

EN IRL ♥!
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Et vous, donc, qui êtes vous ?
Votre pseudo: Senseless / Dédy / Grim
Votre Age: 18 ans
Expérience RP: 2 ans
Un avis sur le forum ? /
Comment tu nous a connu ? /
Un commentaire ? /
Parrain /
Origine de l'avatar: Ordreee ?
Code du règlement: Validé par Hurlement Sauvage ♪

Fiche codée par Aetyhs, aussi appelé Lumière du jugement. Reproduction interdite en dehors de Né-Andarta

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Alexandro Derrechi
Alexandro Derrechi
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MessageSujet: Re: Mechanics sadism - SBS Mechanics sadism - SBS EmptySam 29 Mar - 17:26

Bonjour et bienvenue !
Perso je penche pour une validation en Carreau. Un avis les autres...?
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Invité
InvitéAnonymous
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MessageSujet: Re: Mechanics sadism - SBS Mechanics sadism - SBS EmptySam 29 Mar - 17:42


    Rien à redire sur la fiche, bien sûr. Mais à part ça, je pencherais plutôt pour les Cœurs, personnellement. A voir.

    EDIT : Après accord, tu es effectivement validée chez les Cœurs.
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