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| Sujet: Un mauvais chien ne crève jamais ~ Dog Sam 3 Nov - 21:16 | |
| . Slum Dog [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] | En bref et en gros ♪ Noms: Slum Prénom: Dog Age: 9 ans Taille: 1m30 Poids: 35 kg Sexe ♀ Féminin Origine: Américaine/Japonaise Clan: Partie réservé au Administrateur ♥ Loisir: Le parkour
Centre d'intérêt: Le parkour² Aime: Les sucreries, les chiens, jouer, le parkour, se faire pourchasser, la musique Deteste: Les sermons, apprendre, avoir faim ou froid, les moqueries sur sa taille.
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Professeur Chen : "You are a boy, or a girl ?"
Une petite fille que l'on dit garçon, voilà comment résumer Dog. C'est sûr qu'avec ses cheveux courts, son corps androgyne et ses manières barbares, il est difficile de faire la différence, seul sa carte d'identité prouve la nature de son sexe. Elle détient une peau bronzée par des heures passées au soleil, des cheveux noirs et des yeux gris clairs typique des asiatiques. Une petite taille svelte qu'elle n'assume pas et une musculature légèrement musclée, rajoutez de courtes pattes, laissez mijoter et vous voilà avec une Dog toute faite ! On peut aussi discerner par temps clair quelques taches de rousseurs. Un style vestimentaire plutôt large au premier sens du terme : tout -ou presque- de ce qu'elle porte est trop grand pour sa petite carrure : jeans et t-shirt XXL sont toujours au rendez-vous, sans oublier son célèbre pyjama représentant un chien. Un signe distinctif ? A oui, elle porte toujours sur elle une veste représentant un chien, histoire de se faire hommage. Souvent égratignée de partout, les pansements poussant aussi vite sur elle que les champignons à l'ombre, et on ne compte plus les bleus qui parsèment sa peau -en même temps, sauter de toit en toit n'est pas la meilleur façon de changer les choses-.
Psychopathe ou attardé ?
Très énergétique, trop gourmande, un peu cleptomane, surement joyeuse, pas bête pour un sous, tant de mots pour résumer Dog. Mais joueuse est celui qui la représente le mieux. Quoi qu’on dise, quoiqu’on fasse, quoiqu’il se passe, si elle a envie de jouer, elle joue ! Son jeu préféré : le chat et la souris. Et comme dit précédemment, quand elle veut jouer, elle joue, de grès ou de force. Quelqu’un qui la voit tous les jours se rendra bien vite compte que les principes comme « Tuer c’est affreusement horrible et dégoutant » ou « Voler, c’est mal » ne l’affectent pas du tout, l’indifférencie, et dans de certaines mesures, l’amuse, ce qui, entre nous, est assez effrayant. Mais elle n’aime pas réellement faire le sale boulot, certes les réactions sont drôles à voir, mais c’est bien trop de boulot et beaucoup trop dangereux pour jouer avec n’importe qui, alors elle observe, du haut des restes d’un building ou d’un autre endroit en hauteur les gens se taper dessus ; on n’a pas le cinéma ni la télé ici, alors on fait avec ce que l’on a. Bien qu’avec des penchants et des rituels un peu très bizarres, il est facile de s’en faire un allier –aussi inutile puisse-t-elle être, a par peut-être voler un quelconque objet-. En effet, il suffit de lui donner de quoi se nourrir –de préférences des sucreries ou des sodas-, ou peut-être même lui donner un jeu vidéo si vous en avez les moyens, et jouer deux-trois fois avec elle pour être sûr de vous en être fait un allier. Dog a aussi un sens de la logique assez particulier, qui, bien que les principes de base ne la dérangent pas, lui octroie un sens de la loyauté remarquable, et lui fait réfléchir autant qu’elle peut du haut de ses neuf ans.
SlumDog life 26 Novembre 20XXUne planète, la Terre. Un continent, l’Amérique. Un pays, les Etats-Unis. Sur cette planète, sur ce continent, dans ce pays, une petite fille est là, réveillée, sur un matelas à même le sol, dans une chambre trop petite pour trop de monde, dans un quartier bien trop pauvre et qui abrite bien trop de gens. Là, tout de suite, la chambre est vide, mais on peut entendre des voix dans la pièce adjacente ; mais un petit garçon arrive dans la chambre. Il doit avoir à peine un ou deux ans de plus que la petite fille, et le sourire sur son visage n’indique rien de bon. Il s’approche du lit miteux encore occupé et tire violemment la couette, provoquant sa cadette. Contrairement à ses attentes, elle se lève naturellement, blasé, dépasse notre ami en le snobant superbement ; et cela n’a pas l’air de lui plaire, pas du tout. En rage, il se retourne, s’apprêtant à donner une correction à cette petite isolante. Quel idiot. Il ne se souvient pas, malgré tout le temps passé ici, qu’il y a un miroir sur le mur en face de lui ; alors la petite fille donne un coup de pied en arrière, identique à ceux des karatéka qu’elle voit tous les jours à la télé, pile dans les parties sensibles, là où c’est le plus efficace. Le pauvre garçon se pli en deux, mais il se retrouve plaqué sur le dos, un oreiller enfoncé sur le visage, l’empêchant de crier. S’il crie, le châtiment sera terrible pour elle. Après un silence juré, elle se dirige vers la cuisine où se déroule une véritable guerre entre d’autres enfants, armés de couverts divers et variés. Les moments des repas sont les plus terribles ici, car il faut littéralement se battre pour ne pas partir le ventre vide. L’esprit d’équipe ? La fraternité ? Personne ne connait ses mots ici, il y a juste des regards aussi vide que leurs ventres. L’autre raison de pourquoi ce moment est si désagréable, c’est la présence dans la Boss. Petite fille traverse la cuisine, sous l’indifférence générale des autres, réussissant à attraper deux tartines prix discount aux passages, le regard toujours blasé, et sortit sans plus attendre de cette maison. La maison où elle vit, et où elle a en partie grandi. La maison où elle resterait surement jusqu’à la fin des temps, par obligation. Petite fille alla vers la ville, et se percha en hauteur, admirant le lever du soleil, essayant de ce changer les idées, d’oublier cette routine qui la désespère. Elle se mit à chanter, une chanson non pas en anglais comme tout bon citoyen américain, mais en japonais, sa langue maternelle ; une chanson qu’elle connaissait par cœur et qu’elle chantait toujours à la même date, tous les ans. Cela faisait 365 jours qu’elle comptait. Donc c’était aujourd’hui. Dog, aujourd’hui, fêtait ses sept ans. Mais aujourd’hui est juste un jour comme les autres. ••• Cette « famille », si l’on peut la qualifier de telle, est composée de douze membres : l’adulte, « Boss », la chef de cette maison. Les enfants qu’elle héberge lui servent à rapporter du fric pour faire tourner l’affaire, donc ils doivent rapporter le soir un minimum de gagne-pain, sinon c’est le bâton, et le fautif ne rentre pas tant qu’il n’a pas ramené la somme demandée. Seuls cinq de ces enfants ont un lien de parenté avec elle, et c’est aussi les seuls qui ont des noms ‘’normaux’’. Le reste de ce beau petit monde ? Obtenue plus ou moins légalement ; plus il y a d’enfants pour travailler, plus il y a d’argent à la fin du mois. Dans le cas de Dog, elle est arrivée ici à ses quatre ans –mais qu’importe puisque l’on ne compte pas les années-, ne parlant pas un mot d’anglais, seul un japonais appris sur le bout des doigts sortant de sa bouche. Elle devint vite la petite insolente, qui arrive à nous mettre au tapis malgré qu’elle fasse deux têtes de moins que nous. Si elle avait pu, Boss l’aurait mise à la porte, cette sale petite gamine ; mais elle n’est pas bête l’enfant, et elle se débrouillait toujours pour rapporter plus d’argent que tout le monde, restant parfois des nuits entières dehors, à marchander, voler, ou vendre. Elle serait devenue la chouchoute très vite si elle n’avait pas développé cette manie de désobéir aux consignes, et bien que le résultat fusse le même, elle n’empruntait jamais le parcours demandé. On disait noir, elle disait blanc, on demandait la gauche, elle nous montrait la droite. Elle n’aime pas cette famille, mais paradoxalement aime cette vie, une vie sans règles dès que l’on a passé la porte. Pas d’obligations ou de devoirs, juste rapporter de l’argent le soir. Imaginez un peu la joie qu’elle ressentit lorsqu’elle se découvrit un monde parfait, le même climat de vie, sans cette famille. Il n’y avait plus aucunes limites, si ce n’est survivre. Un terrain de jeu parfait. EN IRL ♥! [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] | Et vous, donc, qui êtes-vous ? Votre pseudo: Stein Votre Age: 15 ans dans 22 jours ! Expérience RP: Bien que ce ne soit pas mon premier forum rp, cela ne fait que 3 mois que je rp Un avis sur le forum ? So coooooooool °^° Comment tu nous a connu ? J'avais trouvé se fo' par hasard, mais c'est le partenariat avec la WH* qui m'a donné envie de m'inscrire. Un commentaire ? Bwazaaaaaa °w° Code du règlement: Validé par Ordre ☆
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Fiche codé par Aetyhs, aussi appeler Lumière du jugement. Reproduction interdite en dehors de Né-Andarta
Dernière édition par Dog "A Dog in Wolfsland" le Dim 4 Nov - 10:18, édité 2 fois |
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Ordre Funeste
| Sujet: Re: Un mauvais chien ne crève jamais ~ Dog Sam 3 Nov - 21:42 | |
| . Bienvenue, une nouvelle fois ♪ Ta fiche démarre bien, courage ~ !
Et les cookies, c'est COOL. *Yeah* |
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Lumière du Jugement
| Sujet: Re: Un mauvais chien ne crève jamais ~ Dog Dim 4 Nov - 11:01 | |
| . Tu sais ici, on tolère la pub hein, enfin, paq à outrance, mais on comprend que vous parliez d'autre forum n.n Pour deux raisons : - Déjà, c'est con de fliquer des gens qu'essaye juste de faire vivre leurs forums en leurs trouvant des membres. J'ai trois forum et je sais ce que c'est de galérer à les faire tourner ! - Puis ensiite ça nous permet de choper d'autre partenaire, alors pourquoi gueuler sur des gens qui, au final, nous aide ? Se serait stupide, Non ?
Piiis... Je vois bien ton perso s'entendre avec Ruby A. Dakota, donc le clan Carreau s'impose pour ton personnage x) |
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Ordre Funeste
| Sujet: Re: Un mauvais chien ne crève jamais ~ Dog Dim 4 Nov - 13:00 | |
| . Waaaay ~ J'aime ton personnage, Doguy. Je te valide et te déplace de ce pas. Et comme l'a décidé Lulu, je vais donc te mettre chez les Carreaux.
Enjoy ! \o/ |
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