Le salon n°6

Invité

Une douce odeur d'agrumes vient chatouiller vos narines, lentement, vous yeux s'ouvrent, laissant votre regard vagabonder dans ce salon douillet. Ce salon donc aux dimensions modestes ne fût décoré que dans la simple idée d'être un lieu reposant. Les murs aux tons pastel n'graissaient pas les yeux, la lumière tamisée rappelait un coucher de soleil et les meubles ne prenaient pas de place superflue. Un canapé d'angle pour épouser le coin du mur, une table basse séparant l'assise du visuel. Oui, un écran plat occupait le mur en face de la porte, celle ci se trouvant à la droite du canapé. Un mot est posé sur la table :

« Oh, je n’ai pas pût y résister, Ombre m’a tellement parler de vous deux… Elle à l’air de vous appréciez. Je n’ai donc pas pu délier deux cœurs qui avaient l’air si proche. Vous ne comprenez pas ? Bien dommage, un jour vous comprendrez. »
Fortuna

Dans un lieu si intime, si chaleureux, si propice aux sentiments amoureux, il est normal que vous aperceviez alors un être à vos côtés, votre partenaire du destin. Découvrez-le car vous devrez en sa compagnie accomplir trois étapes pour pouvoir sortir un jour de ce lieu.

Un petit temps vous ai laissez pour faire connaissance avec la personne à vos côtés. Suite à cela l’écran haute définition s’allumera, mais pas avant.

Invité

Event St Valentin ♪

L’amitié et l’amour, deux choses inconcevable dans ce monde tiraillé par la violence et la méfiance. Mais malgré cela, le Dieu créateur eu la sournoise idée de refaire venir parmi eux leur sœur : Fortuna. Mauvaise idée, celle depuis sa naissance, peu après Déchéance, avait toujours détestée les dieux (masculins) et ainsi, elle profita de cette soirée pour se venger à sa manière.

Le dieu déchu s’était, on ne sait comment, retrouver dans cet endroit majestueux, emplit de marbres, d’or ou même d’argent, il reconnaissait en ce bon gout, sa sœur cadette Fortuna. Mais plus étonnant, fut les personnes se trouvant autour de lui, il reconnut facilement le roi des carreaux, deux membres du même clan et surtout ses deux frères divins, il étira une vague grimace à la vue de Lumière. Les autres, ils ne les connaissaient pas et s’en fichait donc.

Un verre de vin leur fut servit et les paroles de sa sœur ne le mirent pas en joie, si cela aurait été possible, bien sur. Un partenaire ? Des étapes ? Puis le brouillard.

[…]

Son souffle était lent, une odeur de pamplemousse et d’orange mêlés vinrent le réveiller avec douceur. Lorsque ses yeux s’ouvrirent, son regard se porta sur le plafond blanc, il battu des paupières puis se leva, la tête légèrement embrumée. Balayant la pièce, il aperçut allonger sur l’autre partie du canapé, le roi carreau, Aaron Rodvorg. Un soupir de soulagement outrepassa ses lèvres, il préférait être tombé sur le soldat que sur son frère, brrr. Il passa sa main sur la nuque d’Aaron, vérifiant que celui-ci ne soit pas mort entre temps. Son pouls était lent, normal pour un endormis. Tout en s’étirant, il remarqua une porte et se leva pour inspecter celle-ci. Dans un mouvement ample, il essaye de l’ouvrir, mais sans réussite, cela paraissait normal vu les circonstances. Un nouveau balayage des environs lui fit remarquer une télé et plus près, une table basse avec un mot :

« Oh, je n’ai pas pût y résister, Ombre m’a tellement parler de vous deux… Elle à l’air de vous appréciez. Je n’ai donc pas pu délier deux cœurs qui avaient l’air si proche. Vous ne comprenez pas ? Bien dommage, un jour vous comprendrez. »
Fortuna

Ce qui est sûr, c’est qu’il ne comprenait pas, non. Il ne cherchait pas non plus, il préféra reposer le papier et s’assied aux côtés d’Aaron pour essayer de le réveiller en douceur. Qu’allait-il se passer maintenant ?

Invité

Event St Valentin

* Danse. Danse. Encore. Ne t'arrête pas. Laisse les sentiments débordaient. Enivre toi de cette torture mentale.*

C'est vague. Dans son esprit, tout ce mélange. Il y voit encore cette femme étrange, deux membres de son clan, ainsi que Déchéance, il y voit d'autre personne inconnue.

* C'est trouble... *

Cette luxure autour de lui. Il n'entend pas. Il est troublé. Il divague entre ses deux esprits. Il n'est plus lui-même.

* Non je ne veux pas boire... *

Pourquoi est-il là? Il n'en sait rien. Il se prend la tête entre les mains et tente de crier. Mais aucune voix ne sort de son gosier. Il veut fuir. Il est enchaîné dans son esprit.

* Je veux partir... laissez moi... *

Il boit une liqueur. Il tousse. Le soldat ne tombera pas. Le valeureux soldat s'effondra.
C'est le foutoir totale dans sa tête.

. . .

Il tente de l'attraper. Il tend le bras. Il n'y arrive pas. Il court. Il tombe. Se relevant, il continue de courir. À la poursuite de l'espoir. Il ne lâchera pas.

. . .

Ses yeux s'ouvrirent soudainement, en grand. Son regard semblait vide. Son pouls s'étant accéléré, diminué petit à petit.

« Où suis-je? »

Il cligna plusieurs fois des yeux puis pivota la tête sur le côté. Et il ne s'attendait pas à tomber dans un regard azur qu'il connaissait si bien. Aaron se rendit compte qu'il était assis. Son corps se détacha du canapé et son dos se courba. Il posa ses coudes sur ses genoux, rejoignit ses mains et soupira.

« Qu'est-ce qui m'est arrivé? Je me souviens de... rien... »

Le jeune homme tourna la tête vers Déchéance et se redressa. Il observa un instant le dieu puis la pièce dans laquelle il se trouvait en compagnie de la divinité. Son regard se posa sur chaque mur, le sol, le plafond. Il ne rata pas un détail. Puis, son attention se porta sur un bout de papier posé sur une table face à lui. Il l'attrapa et lit ce qui a été marqué dessus.

* Oh, je n’ai pas pût y résister, Ombre m’a tellement parler de vous deux… Elle à l’air de vous appréciez. Je n’ai donc pas pu délier deux cœurs qui avaient l’air si proche. Vous ne comprenez pas ? Bien dommage, un jour vous comprendrez... Fortu...na *

Ses yeux continuèrent de lire en boucle la même phrase. Enfin, il reposa le morceau et secoua la tête. Il ne voulait pas comprendre, même si des idées commencèrent à se former dans son cerveau.

« Qu-... P-pourquoi... Qu'est-ce qu'on fait ici, au juste? C'est un jeu? »

Invité

Elle était assise dans la grande salle et riait à l’écoute des voix appartenant aux participants. Les jambes croisées, le kimono tombant de chaque côté des chevilles, elle sirotait un cocktail au goût de pêches.

« Ces insectes sont tellement divertissant ! C’est partit ! »

Et d’un doigt, orné d’un ongle acéré laqué d’or, elle appuya sur un bouton rouge. Il y eu un vrombissement technologique et l’écran face à vous s’alluma.

Le rire de Fortuna résonnait encore quand la lumière vacilla et que vous n’êtes éclairé que par l’écran.

« Mon premier jeu sera simple… Mais drôle, pour moi. Vous devrez… Mimer un objet, ou autre chose, même dans le but de le faire devenier à votre partenaire… Et vous échangerez vos rôles après, bien sur ! Un petit couple bien ambivalent… Hihihi… »

Après ces courtes explications sur votre premier défi, vous entendez alors votre hôte chantonnée.

« Grouillez, grouillez petites fourmis !
La roue n’a pas cessé de tourner ! »

Ce fut à la fin de cette comptine qu’une petite voit s’éleva dans les têtes des participants désignés pour commencer le jeu en premier et ils purent entendre trois petits mots :

« Tente ta chance. »

Invité

Event de la St Valentin

Le dieu laissait son regard divaguer le long de la pièce, rassuré que le soldat soit bien réveillé et plus ou moins en forme. Ce n’était sûrement pas le moment pour que le Roi fasse une crise de folie, mais il ne craignait pas trop cela, il savait qu’Aaron pouvait se contenir en moment de « crise ». Ils étaient dans le même bateau, drogués tout les deux par sa sœur, enfermés ici sans moyen de sortir, seule Fortuna en avait le pouvoir.

« Qu-... P-pourquoi... Qu'est-ce qu'on fait ici, au juste? C'est un jeu? »

Déchéance fit rouler ses épaules puis après s’être étirer, se leva. Il regarda une nouvelle fois la pièce entièrement avant de reporter son regard sur Aaron.

« Oui, en quelque sorte. Ma sœur, enfin. Fortuna est la déesse de la chance.. Encore un tour de Lumière qui s’est retourné contre lui… »

Qu’est ce que cela pouvait être pratique des fois, d’avoir un dieu avec soi, non ?

Alors que le Dieu allait reprendre, la luminosité de la pièce diminua, laissant la télé qui venait de s’allumer comme seul éclairage. Et la personne qui apparut à l’écran ne fut d’autres que la déesse de la chance. Son sourire était narquois, cela se voyait qu’elle préparait quelque chose, les paroles qu’elle énonça appuyèrent ses pensées.

« Mon premier jeu sera simple… Mais drôle, pour moi. Vous devrez… Mimer un objet, ou autre chose, même dans le but de le faire deviner à votre partenaire… Et vous échangerez vos rôles après, bien sur ! Un petit couple bien ambivalent… Hihihi… »

Le Dieu haussa les sourcils, alors c’était bien un jeu. Un mime ? Mais comment savoir le mime sans que l’autre ne soit au coura—

Un grand bourdonnement, puis une voix familière parvint à son esprit. Seul lui l’entendait, la voix de sa sœur. Voilà comment ils sauraient l’objet de leur mime. Pardon ? Mimer ça ? Mais, non, comment ? Plus aucun son, le Dieu se laissa retomber contre le canapé en soupirant. La déesse voulait vraiment s’amuser, hein.

« Tu avais raison, cela est bien un jeu. Enfin, Fortuna ce joue de nous surtout. Il se redressa et tourna son regard vers Aaron. Et c’est à moi de commencer, à, hum… à mimer. Si nous faisons ce qu’elle veut… Nous pourrons sortir… J’éspère, nous n’avons pas vraiment le choix... »

Relevant son regard vers Aaron, un maigre sourire à lui offrir, le seul qu’il réussissait à faire d’ailleurs. Sourire n’était pas quelque chose de facile pour lui, ainsi soit-il. Il attendit alors l’approbation du soldat, savoir sil lui aussi était prêt à jouer et se sortir de cette épreuve ou les dieux avait encore mis leur grain de sel.

Invité

Event Saint Valentin

« Ta soeur ? Je... je ne pensais que seul Ombre de Lune était ta soeur. Lumière a le don de faire des conneries ma parole. »

« Tu avais raison, cela est bien un jeu. Enfin, Fortuna ce joue de nous surtout. Et c’est à moi de commencer, à, hum… à mimer. Si nous faisons ce qu’elle veut… Nous pourrons sortir… J’éspère, nous n’avons pas vraiment le choix... »

Invité

Event St Valentin

Voilà, le jeu avait commencé. Le soldat l’avait approuvé et laissa le dieu débuter les hostilités. Après s’être relevé, il se mit face au soldat, réfléchissant à sa façon de faire tout en fixant intensément le Roi. Très bien, il laissa ses bras tomber le long de son corps en inspirant. De nouveau, il se recula.

« Bien, bien, bien… En arriver là, franchement… »

Comment mimer cela, comment mimer cela. Il ne savait pas réellement comment faire. Une idée germa dans sa tête, peut être qu’en mimant ce qu’il avait déjà vu chez les humains, Aaron pourrait comprendre ?

Encore une fois, il inspira, la possibilité d’être ridicule ne l’effleurait même pas, heureusement que la personne en face de lui était le Roi des carreaux, sinon dans quel panade il ne se serait pas mis.

Bien, débutons. Pour premier geste, le dieu posa ses deux mains sur son torse, près du cœur, mais pas dessus, appuyant bien sur le fait, qu’il ne touchait pas le cœur. Ensuite, sachant que cela ne serait pas suffisant, il mima une nouvelle chose. Un sourire pouvant être rayonnant et franc, mais bien sûr et sans le vouloir, une pointe de tristesse s’en dégageait. Mais ce n’était pas là le souci, toujours avec légère exagération, il appuya sur son sourire et son visage « radieux ».

Que faire d’autre ? Ah, il se rappelait d’une expression entendue il y a peu, pour mimer celle-ci, il fit battre ses mains, comme pour voleter. Bon, ça tournait au ridicule, et le Dieu s’en rendait compte, et il ne s’en fichait pas autant qu’il le croyait. Rouge de honte, il passa sa main sur son visage pour se calmer.

« V-vraiment… »

Tout au fond de lui, il espérait que le soldat ai compris, devoir continuer… le tuerai de honte, que ce soldat prouve son intelligences ou qu’il en finisse avec lui !

Invité

Event Saint Valentin

1934, France. Paris, centre ville, bibliothèque... Il se revit courir le long des rangés de livres, ouvrant les bras pour imiter un avion. Mais dans un faux pas, il dérapa et vint se cogner contre une étagère, avant de tomber lourdement au sol et voir un livre s'écraser devant lui. La poussière qu'il dégagea le fit éternuer. Curieux, il s'assit sur le séant et commença à le feuilleter. Son attention s'arrêta sur divers images, puis soudain...

« Un ange. »

« Est-ce la bonne réponse ? »

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