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| Sujet: « Born to win... † » William Alexender Ford Jeu 24 Jan - 21:35 | |
| . William Alexender Ford [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] | En bref et en gros ♪ Noms:Alexender Ford Prénom: William Age: 20 ans Taille: 1m80 Poids: Poids plume ? Sexe: Femme (Sisi) Origine: Anglaise Clan: Partie réservé aux Administrateurs ♥ Loisir: Le piano, les conquêtes féminines, la course de bolides.
Epoque d'origine: Actuelle Centre d'intérêt: La musique, les rave party, les courses. Aime: La gloire, l'alcool, les filles, l'adrénaline, mentir, la victoire. Deteste: Perdre, la solitude, le tabac, l'ennui.
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Wear a mask and deceive the truth. Être quelqu'un d'autre... Si je devais me qualifier comme étant un garçon, je mentirais constamment sur la vérité. J'aime être quelqu'un d'autre et voir les gens tomber dans mon piège. Sans jamais avouer ce ne serait un seul indice sur ce que je suis vraiment, je reste et resterais un garçon. Tout d'abord, un garçon plus efféminé. Un corps plutôt svelte, sans trop de muscles aux niveaux des bras, car oui, faut bien entretenir ce corps de vainqueur. Du haut de mes un mètre quatre-vingt, j'aime être supérieur à toutes filles que je puisse rencontrer et aussi, pouvoir intimider mes adversaires, bien que parfois, se soit eux qui me dépassent... Bref. Donc, avec ce corps fin, un visage aux traits fins, bien évidemment. Un visage sans défauts. Un petit nez qu'une qu'une fine bouche. Des yeux aux prunelles azur, dont je me sers pour envouter ces dames, ainsi qu'un sourire enjôleur qui s'accompagne de temps en temps. Ça marche à tous les coups. Enfin, pour accompagner ce visage, des cheveux égalent à la couleur du blés, dont les épis refusent de rester en place. Mais bon, ce style rebelle s'accorde parfaitement avec moi. Et pour couronner le tout, je porte des fringues qui me vont à la perfection ! Des habits de mecs, soyons clairs. Ah et je ne me vête jamais de fringues de fille, j'ai horreur de ça. Parfois, je porte des bagues, des collier et des boucles d'oreilles -que je mets seulement sur une seule oreille- dont ces bijoux sont plus destinés aux hommes et ayant de la valeur, car je déteste le toc... Lose? Ever.
Ne jamais être perdante. Vraiment, la défaite... C'est chiant, tout simplement. Montrer à un adversaire sa faiblesse, c'est rageant. C'est pour cela que j'ai toujours eu l'envie de gagner, malgré que je sois plutôt mauvaise perdante de temps en temps... Hmpf. C'est vrai, je n'ai jamais accepté de perdre, alors je sortais toutes les excuses de merde qui pouvait exister. Mais, par contre, quand la victoire m'appartient, j'aime ridiculiser mon adversaire et lui faire bouffer sa défaite. C'est une jubilation ! Enfin. En plus d'aimer la victoire, j'aime être regardé, du moins, être admiré. Voir que l'on parle de moi de partout, être une célébrité en quelque sorte. Et non pas tomber dans l'anonymat, je fais tout pour regagner le succès. J'ai vite appris à être autonome dans ce qui m'attendait en Amérique. C'est vrai que je n'ai jamais compté sur qui que ce soit pour m'aider. Toujours faire la débrouillarde, faut dire aussi que je n'aime pas trop recevoir de l'aide, quoi que parfois, ça peut m'être utile... M'bon. Sinon... Ah, oui. J'aime beaucoup draguer et je compte, pour attirer les dames, sur mon physique. Mais je ne suis pas vraiment du genre à me regarder toutes les cinq minutes dans ce ne serait un miroir pour voir ma tronche et me dire que tout est parfait, bien que de temps en temps, je suis assez fière de ma beauté. De plus, je peux montrer de la douceur envers autrui, mais... seulement envers les femmes ! Bon, d'accord, parfois les mecs, mais c'est rare, très rare... Mmh... Ah, je ne suis pas du genre à faire le gentil toutou qui obéit gentiment à son maître, ce qui veut dire, que je suis assez... désobéissante, du genre à transgresser n'importe quel ordre, qui à mes yeux, n'a pas grande importance, faire ce que bon me semble et oublié tout danger. M'ouais, une petite tête en l'air, aussi. Bref...
On the road to success. Le bolide refusait de s'arrêtait, tandis que le conducteur n'arrêtait pas d'appuyer sur le frein. Rien à faire, l'auto roulait droit vers un ravin. Le volant était bloqué. La poussière volait derrière le passage éclair de la voiture. Un bolide, en plein désert, une course quoi. Mais une course qui certainement, venais de prendre les allures d'un sabotage. Le seul passager sentait son coeur s'accélérait. Le ravin se rapprochait. La mort, au bout? . . . STOP. On stop le temps d'abord. Ouais, j'pas raconter mon histoire, là. Bref. On rembobine. Hum. Moi, c'est William. Enfin, William Alexender Ford. Et j'vais déjà vous révéler un secret : je suis une femme. Etonnant, hein, malgré mon physique, ainsi que mon prénom. Mais, vous vous dites, pourquoi un nom de mec donné à une fille? Bien, c'est simple. Avant que je ne vienne au monde, mes deux crétins de parents souhaitaient par-dessus tous avoir un garçon. Mais, à ma naissance, la surprise : coucou je suis une fille et ouais, pauv's nazes. Et sans prendre le temps de réfléchir, ils m'ont donné William comme prénom. Prénom qu'ils avaient prévu à mon honneur si j'avais un bidule qui pendouillait entre les jambes. Mais non. Enfin. C'est plutôt mon père qui fut déçu de voir que j'étais une fille. Mais petit à petit, il me porta beaucoup d'affections. Trop, même... Faut dire que je suis née avec une cuillère en argent dans la bouche, en Angleterre. J'avais tous. Rien ne m'échappait. À chaque caprice de fillette, mes parents cédaient. J'avais de quoi remplir des coffres de jouets aussi inutiles les uns que les autres. J'étudiais dans prestigieuses écoles. Une belle vie, quoi. Rien ne me manquait. Mais, une seule chose ne mettait pas accorder : des vêtements pour garçons. C'est à huit ans que j'ai commencé à porter ce style de fringues. Je refusais catégoriquement de porter ce ne serait des robes, jupes, collants et tout ce qui s'en suit! Cela faisait rager mon père comme ma mère de voir mes vêtements déchirés, sales... et moi, ben ça m'amusait. Alors, au bout d'un moment, j'ai réussi à avoir ce que je désirais. Des fringues qui me convenaient. Ensuite, est venu la coiffure. Mon style entier changea. J'étais devenu un vrai p'tit garçon. Les gens me faisaient rire quand il disait "mon petit bonhomme" ou "petit garçon". Ouais, j'étais bien dans ma peau. Au collège, je traînais le plus souvent avec des gars. Les études, je m'en foutais un peu. Je me passionnais surtout par tout ce qui pouvait être les bolides. Les courses, la vitesse... La victoire. J'aimais toujours gagner, dans n'importe quelle discipline. Être la plus forte. Être reconnue pour mes exploits. J'aimais ça. Arrivé au lycée, j'ai commencé... à m'intéresser de plus en plus en l'AMOUR. Ouais, ce sentiment putride. Au début, mes parents me forçaient à avoir un copain, un mec riche surtout... Mais tous les garçons que je pouvais rencontrer, aucun ne m'intéressais. Je les trouvais idiots, moches... Bref. Puis, je me suis rendu compte que je regardais beaucoup les filles. Je m'en foutais un peu, mais au fur et à mesure, je me suis rendu compte de mon orientation sexuelle... Ça m'effrayait. Puis, je m'y suis habitué. Mon attirance pour les filles, je ne le disais à personne. Même pas à mes parents. Mais tôt ou tard, j'avais lâché le secret. Je ne vous dis pas la réaction de mon père quand il le sut... Résultat, je me suis retrouvé envoyé en Amérique. Pourquoi? Pour suivre de plus grandes études dans la médecine. Mon père voulait plus me faire bosser et m'enlever mon homosexualité de l'esprit. Rien à faire. J'ai atterri à Amérique à l'âge de dix-sept ans. Par chance, là-bas, le droit de conduire était accordé à l'âge de seize ans. Grâce au fric que je recevais de la famille -qui devait me permettre de payer mes études- j'ai pu m'acheter une voiture, toute simple, un peu cabossée. Avec un peu d'expérience, j'ai pu la rénové et lui donner un p'tit coup d'jeune. Au lieu de partir bosser tous les matins, je partais rouler sur les routes dans les déserts. C'est une totale liberté que l'on m'accordait. Puis, je me suis intéressé aux courses. Puis aux raves party... je sombrais dans ce qui pouvait être une liberté sans règle. Le succès vint vite à moi. J'avais laissé tomber mes études. Je me concentrais sur les courses. elles me permettaient de gagner plus d'argent. J'aimais cette vie. Personne pour me dicter de putain de règles. J'avais plusieurs conquêtes avec des femmes, mais aucune ne dura guère longtemps. Je logeais dans un appartement à Los Angeles, mais je préférais voyager avec des gens que je rencontrais lors des courses. L'on ne s'arrêtait plus sur les routes. On était libres. Libre de faire ce qui nous plaisait... Libre, tout simplement. Suite à un petit accident de course, je me retrouva à retourner à Los Angeles, incapable de concourir à nouveau. J'avais dix-huit ans et j'avais déjà la gloire. Mais lors de cet accident, je fus incapable de tenir un volant. Un bras cassé. Génial. Je tournais en rond dans mon appart tellement que je me faisais chier. Je sortais rarement. Je ne voyais plus de filles. Je m'ennuyais. Mais c'est un beau jour que le destin décida de me redonner une chance. Toujours le bras dans le plâtre, j'avais décidé de sortir m'aérais un peu. Ça sentait le rat mort chez moi. Ouais bon, faut dire que je nettoyais rarement et flemme de payer une bonne à tout faire. Ah les jeunes... Bref. Alors que je marchais tranquillement en direction de mon appart, revenant d'un supermarché, un sac remplis de bouffes, assez lourd, je glisse sur une flaque d'eau et me retrouve le cul au sol, la nourriture étalait de partout. J'ai poussé un juron, du style qui ne passe pas inaperçu. Alors que je me relevais, quelqu'un vint à ma rencontre et m'aida à ramasser ce que j'avais acheté. Cette personne, c'était... une belle et jeune femme. Je ne sais pas ce qui c'est passé à ce moment, mais j'ai cru que le temps c'était arrêté quand j'ai croisé son regard. Vraiment belle... Elle m'a aidé à ramener la bouffe à mon appartement et je lui ai proposé de rester boire... Et depuis ce jour, nous nous sommes plus quitté. Elle, c'était Marylin. Une fille issu d'une famille américaine, vivant normalement dans une petite ville plus loin de Los Angeles. Une jeune femme brune aux yeux marrons, mais d'une beauté... Aah. Au début, peu après notre petite rencontre, l'on avait commencé à sympathiser, puis, l'amitié c'est vu transformer en amour... un amour profond. Et personne ne venait nous gênait dans cet amour. Pour une fois... J'étais vraiment heureuse. Elle est venue habiter chez moi. J'ai pu rencontrer sa famille. Une famille bien charmante, différente de la mienne... D'ailleurs, je n'y pensais jamais, à mes parents, je les avais presque oubliés. Et je m'en foutais royalement, d'eux. Marylin est entré dans ma vie et n'en est jamais sorti. Mais... ce n'étais pas un conte de fée. Alors que j'avais abandonné les courses de voitures, je menais une petite vie tranquille avec elle. Sans embrouille, sans problème. L'on avait toutes deux trouvées du travail en ville. Oui, pas de problème jusqu'à là... Sauf... une maladie... une putain de maladie vint frapper Marylin et la traîna à l'hôpital. Je me rappellerais encore et encore la voir allonger sur le lit d'hôpital. Je ne savais pas très bien ce qu'elle avait, mais c'est un problème sérieux venant du coeur... Je passais mes nuits dans cette chambre d'hôpital, à espérer qu'elle puisse guérir. Je me suis même tourné vers dieu, alors que je me moquais des croyances. Mais ce putain de dieu ne répondais à aucune de mes prières. Et un sombre jour... elle est partie... alors, que je n'étais même pas là pour lui adresser un adieu... L'alcool. Ma meilleure amie, qui me permettait d'oublier toutes les conneries que le monde pouvait donner. J'en buvais des litres et je me retrouvais ivre morte le matin dans mon lit. C'est devenu une addiction total. Je buvais pour oublier sa disparition, mais rien à faire, c'était une pensée permanente qui me rongeait l'esprit. J'en pleurais chaque soir. Les derniers souvenirs que je pouvais avoir d'elle était des photos et une bague, que j'avais pris soin de mettre à une chaine que j'attachais autour de mon cou. Je m'en séparais jamais. Ma vie était de nouveau... morne. Je refusais de quitter mon appartement. Le succès que j'avais, été vite retombé à zéro. L'on oublia mon existence. Alors, un jour où j'avais décidé de faire une petite ballade en bolide dans un désert, histoire d'oublier ce qui restait de mon passé, je vis planté au beau milieu du désert une fête. Je m'en approcha et me rendis compte que c'était des courses d'auto. Un homme, un ancien adversaire que j'avais explosé à une course, vint me voir. Il avait toujours cette rage de vengeance envers moi, ce qui me fait encore rire. En plus, il n'a jamais su qu'il s'était fait écrasé par une femme. Il m'a proposé une course, que j'ai refusé. Mais, alors que j'étais sur le point de m'en aller, il me retint en me criant que si je gagnais, je recevrais un bon paquet de fric et des bagnoles de luxes. Je lui ai dis de se mettre ces récompenses, là où je pensais, mais il a rajouté une chose qui ne m'a pas du tout plus... « Ouais, minable que tu es. Ta copine t'a quitté parce que t'es trop faible. » Faut dire... que je me suis bien énervé. Alors, j'ai relevé ce défi, mais juste parce que je voulais à nouveau lui faire gouter le prix de la défaite. Et voilà, l'atmosphère semblait lourde. Nos moteurs grondaient. Le drapeau flottait au gré du vent. Impatiente, j'appuie en continue sur l'accélérateur. Le drapeau se baisse... Vroum. Alors que l'arrivée n'étais plus bien loin, l'on du traverser ce qui s'avérait être un rebord de falaise qui débouchait ensuite sur une petite étendue de sable et plus loin, un profond ravin. Et voilà où j'en suis. Mes freins ont été sabotés. Ma voiture refuse de dévié de route. Le ravin est juste là. Le bolide s'envole puis commence à pencher en avant... Fiiiouuu... je vois plus bas le sol. J'ai peur. Je glousse. Putain, non... J'pas envie de mourir... Non, vraiment, pas maintenant. EN IRL ♥! [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] | Et vous, donc, qui êtes vous ? Votre pseudo: Wil' Votre Age: *** Expérience RP: 1 ans d'expérience Un avis sur le forum ? Il est beau, beau, beau... Comment tu nous a connu ? C'l'autre fou de soldat qui me l'a montré... C'est moi, Aaron... Un commentaire ? Troisième compte. Haight. Uu' Parrain Aucun. Code du règlement:
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Dernière édition par William A. Ford le Ven 1 Fév - 18:54, édité 1 fois |
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