Invité Invité
| Sujet: Shark in the Water / / Seth Shark Mer 24 Avr - 17:43 | |
| . Seth Shark | En bref et en gros ♪ Noms: Shark Prénom: Seth Age: 24 ans Taille: 1m77 Poids: 75kg Sexe ♂ Origine: Etats-Unis (Miami) Clan: Partie réservé aux Administrateurs ♥ Loisir: La boxe, voyager, aller courir avec son chien, faire du vélo, aller au cinéma, sortie entre ami et autres loisir d’un homme de son âge. Epoque d'origine: 2012 Centre d'intérêt: Les championnats de boxe, sa famille, ses amis. Aime: La boxe, sa famille, ses amis, son chien, les ballades, gagner ses combats, les barres vitaminées, le jus d’orange. Deteste: Les véhicules terrestres motorisés, perdre ses combats, tricher, les substances illicites, tricher et les tricheurs.
|
Pas de bras, pas de chocolat ! Une lumière blanche et vive, une sonnerie palpitante, un homme tombant dos contre terre, son visage recouvert de sang et d’hématomes, évanouit. Un autre homme, blond, passe à travers les cordes que forme le ring, ses cheveux courts en bataille se plaquent contre son front, trempés par l’effort, son torse nue et bien battit couvert de sueur. Il crache un filet de sang en rabattant la capuche de son sweat, celui qu’il vient d’enfiler après sa descente, sa victoire. Les flashs de le presse ne cesse pas, ils redoublent d’intensité, mais le jeune homme n’en fait rien, non, parce qu’il ne les voit pas, il est aveugle. Ses yeux sont morts, remplacés par des prothèses de globe oculaire noir dont la réplique de la pupille est d’un jaune doré. Ils l’assaillissent de question, un homme plus vieux, rondelet, passe son bras autour de ses épaules, renvoyant les journalistes avec peu de diplomatie. Mais ceux-ci ne partent pas, au contraire la foule augmente, elle l’oppresse. Son visage ovale et légèrement fin se retrouve couvert de sang, sa lèvre est déchirée en son coin inférieur gauche, séquelles de son combat. Ses poings se tendent vers le vieil homme, celui-ci se dépêche d’enlever les gants rembourré et de cuir rouge. Enfin, il peut étendre ses doigts, ses sourcils se froncent, non, ce ne sont pas ses doigts, pas ses mains, encore moins ses bras. Ils traversent la foule d’une seule traite, poussant sans soucis les gêneurs, ils ne répondent pas aux questions qui leur sont posé. Au bout du chemin, le blond entre seul dans des grands vestiaires, grand et vide. La porte claque, les glapissements des fans, les voix grésillardes des chroniqueurs s’estompent pour laisser place à un long silence. Soupirant, le vainqueur se laisse glisser contre un mur, ses jambes étendues, ils regardent ces mains qui lui ont permit de gagner. Tout comme ses yeux, ce ne sont que des bras robotisés, le must de la technologie. Sans ces deux machines soudée à son buste, il n’aurait rien pour combler le manque de ses bras. Il les hait comme il les aime, détestant l’image que donne ses prothèses, celle d’un homme mi-robotisé, les ragots des jaloux ne sachant pas ce qu’est la perte pas d’un, mais de ses deux bras que l’on a remplacé par des machines. Mais il ne peut pas les renier, ses diapositifs lui ont permit de vivre « normalement », de continuer la boxe et de développer une force nettement supérieur à celle d’un homme de son gabarit. Le jeune homme se remet sur ses jambes puis fait voler son sweat dans un coin de la salle, vêtu simplement d’un short bordeaux, il se traîne en tâtant le mur jusqu'à une balance parlante puis monte dessus, il souffle. Son poids est stable, restant sur ses soixante dix huit kilos, dont six seulement pour les deux bras, pour son mètre soixante dix neuf. Contrôler son poids régulièrement fait partie des tâches du métier. Après avoir fait glisser la balance, à l’aide de son pied, loin de lui, il se dirige vers les douches, en continuant de longer les murs, pour enlever l’excédent de sang, dont une partie ne lui appartient pas, et la sueur accumulé pendant son match. Entrant dans les douches, il laisse derrière lui son short et son boxer pour se retrouver complètement nu sous les jets d’eaux froides. Encore heureux, ses bras ne craignent pas l’eau. Ses mains passent dans ses cheveux alors qu’il relève le visage vers le pommeau, plaquant ses cheveux blond en arrière. Se mettant à sourire, il vient de réaliser sa victoire, une nouvelle à son actif. Il se lave, se rince et sort du coin d’eau une serviette autour de la taille et une autre posé sur son crâne. La main longeant le mur, il retourne près de ses affaires qu’il range en boule dans son sac après avoir ressortit d’autres vêtements propres et plus adapté à l’extérieur. Cinq minutes d’attente et le voilà complètement vêtu, rajustant son gilet gris sans manches tombant légèrement sur son jogging noir puis bouclant les deux perles doré sur chacune de ses oreilles. Son sac sur l’épaule, il se dirige vers la sortie des vestiaires, arrivant dans un couloir vide. Il le longe pendant plusieurs minutes, bifurque à un croisement, pour enfin atterrir face à une porte de métal dont la poignée est une grande barre d’acier, le bruit de sa main se posant dessus résonne en un tintement de métal. Il pousse la grande poignée et la lumière du soleil haut dans le ciel vient réchauffer son visage. Au dehors, aucuns reporteurs, aucuns fans, mais une jeune fille aux longs cheveux blonds, haute comme trois pommes tenant dans sa petite main une laisse de cuir et à son bout, un chien aussi grand que la petite fille. La petite glapit, et se met à courir vers le garçon en criant. « Grand frère Seth ! » Pour finir par se jeter dans les bras de l’homme qui l’a rattrapa. Le chien aboyait en tournant autour de son maître, celui-ci redéposa la fillette à terre et attrapa la laisse. Et ils finirent par partir en direction des digues de la grande ville. […] Le néant, pourquoi ce souvenir lui réapparut maintenant, le vide. Sa mâchoire était lourde alors qu’il se redressait, ses paupières s’ouvrirent et chose inattendue, il put voir. Mais quelle vision, une paysage dévasté, les immeubles ne tenaient plus, beaucoup avaient touché terre. Des corps volèrent puis atterrirent à ses pieds, déchiquetés de partout. Le monde à changé, ses règles aussi. Le gain de sa vision était-il si bénéfique que ça ? Car en échange il y perdit son ancienne vie. Allez, le mental ! Premier Round La combativité et l’envie de victoire, haine de perdre. Son corps chuta contre les cordes de chanvre, se retenant contre celles-ci, tête baissé, il cracha quelques gouttes de sang dans le récipient que lui tendit son entraîneur. Aveugle, oui, mais cela ne le gênait guère pour se battre, car il avait apprit à ressentir les choses et se battre dans l’environnement du ring. Le mot « perdre » ne faisait plus partit de son vocabulaire alors il se releva et se remit face à son adversaire, la lèvre saignante, ses poings relevé près de son visage, non, il ne perdrait pas. L’arbitre signala la reprise du combat et les deux hommes se remirent à tourner comme des chiens en cage, des chiens aux envies de mort. Tentant une avancée, son poing alla percuter la mâchoire de son adversaire dans un crochet du droit faisant détourner brutalement le visage de l’autre homme, un filet de sang sortant de sa bouche suivit le mouvement. Deux minutes passèrent sur des enchaînements de coups, l’un esquivant et l’autre attaquant, une danse violente que seuls les professionnels de ce sport connaissaient. Menant de peu le combat, Seth retourna dans son coin après que l’arbitre a sonné la fin du premier round. Deuxième Round Jamais pour lui, toujours pour les autres. Détermination sans faille. Adossé sur l’un des poteaux du ring, se tenant par les cordes, il laissa son entraineur éponger son front et lui rincer sa bouche emplit de sang, il recracha l’eau rougeâtre dans une petite coupelle. Ses paupières fermées, la raison qui poussait Seth à se battre lui revint en image. Sa sœur, sa mère, son défunt père, ses amis et même son chien, faire de la boxe son métier était pour lui le moyen de lier l’utile à l’agréable, tout se résumait à son entourage, il aimait autant se faire plaisir que faire plaisir aux autres. Jamais il ne laisserait plus sa cécité l’affaiblir, s’ayant trop fait souffrir lui et ses proches. Secouant la tête, il se redressa à la fin réglementaire de la pause, se remettant face à son adversaire en souriant, il adorait se battre. Jamais il ne perdrait sans avoir tout donné. L’arbitre signala le début du deuxième round et se recula, laissant les deux hommes s’approchés l’un de l’autre. Les coups partirent, lorsque son adversaire tenta un direct du droit le blond ressentit l’air se fendre et esquiva en se baissant, mais il n’en resta pas là, enchaînant sur un uppercut, Seth reprit le contrôle du combat en liant plusieurs coups d’affilé, la victoire est trop proche, il ne peut se laisser aller. Mais une seconde d’inattention et Seth fut contré en Overhand, un coup de poing descendant que son adversaire lui affligea juste avant la fin des trois minutes de match. Légèrement sonné, il retourna dans son coin près de son entraîneur pour souffler tout en jurant. Troisième Round Seul dans son match, rien n’y personne ne le commande. La hargne l’habite. Comme à la première pause, le vieil homme servant d’entraîneur au garçon vint lui éponger le visage puis récupérer le sang coulant de sa bouche, après avoir enlevé son protège dent ce coup ci. Et comme tout bon coach, commença à rabattre les oreilles du boxeur en lui disant de privilégier les uppercuts et non les directs, de faire tel enchaînement et de contrer plus que d’attaquer, et cela pendant les deux minutes de temps mort. Remettant son protège dent, Seth envoyer balader le coach une bonne fois pour toute : « C’est MON combat, ce sont MES poings et MES coups, alors arrête avec tes conseils vieux croûton. ». Rien de bien méchant, ce genre de parole, ils se les échangeaient à cours de journée, mais il est vrai que le blond détestait qu’on lui donne des ordres, surtout durant ses matchs. Le match reprit, Seth consacra la première minute à esquiver les coups et ainsi comprendre l’attaque que son compétiteur usait durant ce round. S’abaissant au premier coup, contrant avec ses poings, ne réussissant à éviter un uppercut il se plia en deux mais se releva aussitôt. Enfin, il « voyait » clair dans la technique de son rival et cela même en étant aveugle. De nouveau droit, il esquiva sans soucis le crochet que lui envoya l’autre homme en un simple pas de retrait, puis toujours en enchaînant, désaxa le deuxième coup lui étant porté. Mais il profita du désaxement qu’il venait de faire pour de suite attaquer et cela grâce à cross-counter, une technique qu’il favorise grandement et qui consiste en une défense suivit, pour cette fois, d’un direct. Voilà, prenant les rênes de l’affrontement, il affila les directs au point d’acculer son adversaire dans un coin, et cela pendant près de trente secondes jusqu’à ce que l’arbitre siffle la fin du round et la fin du match. Commentaire du match par le New York Time :
« (…) C’est sur cette victoire le propulsant en tête du classement des poids mi-lourds, que ce garçon pourtant aveugle fait preuve d’une rage sans faille lors de ses combats, son envie de victoire se fait ressentir tout autour de lui, un exploit en soi. (…) Ce jeune à surmonté sa cécité, la mort de son père et la perte de ses bras, remontant inlassablement sur les rings, tout cela pour faire vivre sa famille. Un esprit combatif dans le corps d’un jeune homme qui ne vit que pour la boxe et sa famille. Une étoile montante du sport. » Allez, l'histoire ! Hôpital de la ville d’Albany dans le Comté de Green, Etat du Wisconsin, 24 Novembre 1988
Les hurlements résonnèrent dans le fond d’une pièce blanche, des hommes s’affairaient autour de la femme dont provenaient les cris. La jeune personne blonde dont le front suait à grosse goûtes se cambrait et hurlait comme une démente, ses ongles s’enfonçant dans le tissus du lit auquel on la maintenait. Une femme essayait de la calmer, de la rassurer, mais rien n’y faisait, la douleur était trop vive, trop prenante. L’impression que son dos se rompait en deux, d’être mutilé de l’intérieur. Soufflante, haletante, le corps en sueur, mains et pieds liés au lit, elle hurlait à plein poumon. Cela faisait maintenant trois heures qu’elle se trouvait là, bien trop de temps, elle n’en pouvait plus. Encore une, non, deux heures et son merveilleux calvaire fut terminé, du moins c’est ce qu’elle pensait. Ses cris s’apaisèrent mais d’autres plus aigue et plus douloureux s’élevèrent dans la pièce, un homme tout de blouse vêtue sortit avec un nourrisson dans les mains. Non, cet homme ne l’emmenait pas laver le nouveau-né, ne le donnait pas non plus à sa mère. Que pouvait-il bien faire ? Au dehors de la salle de travail, dans celle d’attente, se trouvait un homme brun, le sourire crispé alors que ses collègues, venues le soutenir pour l’accouchement de sa femme, tournaient dans tout les sens à l’attente d’une bonne nouvelle. Certaines personnes durent partir pour prendre leur tour de patrouille, oui, ils étaient policier, tous. Ce fut donc pendant près de cinq longues heures que toutes les personnes présentes attendirent dans un silence religieux. La porte s’ouvrit et un médecin enlevant ses gants s’approcha du nouveau père. Le discours qu’il lui tient fut en premier lieu rassurant mais finit par annoncer UNE très mauvaise nouvelle. Sa femme se portait à merveille, son fils aussi, du moins pour le moment. Les médecins présents avaient constaté que les bras du garçonnet étaient légèrement plus petits qu’à la normale et de ce fait, plus faible. Cela n’irait donc pas en s’améliorant, les muscles des bras finiraient pas s’autodétruire et ses bras viendraient à ‘mourir’ ce qui laisserait place à des membres inutiles, laid et pendant le long du buste du garçon. Mais dans cette promesse d’un avenir difficile, une note d’espoir outrepassa les lèvres du médecin. Celui-ci évoqua la possibilité que d’ici une dizaine d’années, la médecine serait sûrement capable d’offrir des prothèses très développé au garçon. C’est donc ainsi que naquit Seth Shark. Ses parents malgré la maladie de leur garçon ne cessèrent de l’aimer, au contraire, leur amour grandissait au jour le jour. Cette maladie n’entravait aucunement leur bonheur, du moins pour l’instant. Quartier Ouest de la ville d’Albany dans le comté de Green, Etat du Wisconsin, 07 Juin 1996.
Cela faisait maintenant une semaine que Seth était passé sur la table d’opération, les chirurgiens avaient réussi avec brio l’extraction puis l’ajout des prothèses. Celles-ci n’étaient pas très esthétiques et devraient être changeable jusqu’à la fin de croissance du garçon mais cela lui changeait la vie. Les débuts n’étaient pas faciles, de s’adapter à ses morceaux de métal, mais après quelques mois, cela fut une vielle histoire. Salle de sport de la ville d’Albany dans le comté de Green, Etat du Wisconsin, 29 Juin 1996. Sur conseil du médecin, Seth réussit a trouvé un sport qui lui convint parfaitement. Oui, après une soirée avec son père pour aller voir un match de boxe, le jeunot eu une révélation, ce sport était fait pour lui, il le savait, il le sentait. Rapidement, il apprit les bases de ce sport de combat, pour monter petit à petit dans sa catégorie. Quatre ans plus tard, sa famille s’agrandit et sa petite sœur, du nom D’Eléonore vint à naitre. Il fut tout pour être un grand frère exemplaire à partir de ce moment. [Résumé à étoffer plus tard/FLEMMINGITE AIGUE/] Son père meurt au cours d’une poursuite poursuite alors que Seth n’avait que seize ans, il devient donc l’homme de la maison. Deux ans plus tard, il se fera remarqué par un petit sponsor qui le propulsera en haut de l’affiche, lui permettant de vivre de la boxe. Il remporta tout ses matchs et cela fit de lui l’un des boxeurs les plus reconnue des Etats-Unis et cela malgré ses poings d’acier. Malheureusement, il dut affronter un adversaire se trouvant sous le joug de la mafia. Pour entraver et sortit le blond de la compétition, le manager fit enlever et torturé le boxeur, venant au point de lui brûler les yeux par l’acide. Relâché en pleine rue, il déambula dans le noir jusqu’à ce qu’une personne l’amène à l’hôpital où il fut soigner. Le noir total, il n’avait plus d’espoir. Que faire ? Il ne pouvait plus voir, ses yeux avaient disparut et remplacé par des yeux de verres noir et jaune -pour aller avec ses bras- alors comment vivre maintenant ? Son espoir était au plus bas, mais sa famille était toujours présente. Sa mère lui offrit un chien pour guide d’aveugle, une golden retriever, sa sœur l’obligea à se remettre à la boxe. Il lui fallut plus d’un an pour vivre parfaitement avec ça et surtout se remettre sur le ring. Aussi tôt remis, aussi tôt sur les podiums. Malgré sa cécité, il n’avait plus de mal pour mettre ses adversaires hors jeu. Sa vie continua ainsi, sans d’autres soucis, au contraire, tout allait pour le mieux. Mais le bonheur est éphémère, quelque soit la façon dont il se termine, sa fin ne présage rien de bon. Lors d’un combat, après un coup de trop dans le visage, le cerveau du garçon frappe trop fort contre sa boite crânienne. Le résultat ? La mort. Dans ses derniers instants de vie, la lumière réapparut à Seth, il put voir les flashs des journalistes, le visage de son meurtrier. Son corps toucha terre, et les dernières merveilles qu’il vu, furent le visage de sa mère et de sa sœur. Que rêver de mieux ? Ses yeux se fermèrent un instant et une voix retentit, elle l’appelait. Un nom fut répété, « Né-Andarta », puis le silence. La fin, la fin, la fin et le commencement. Ce même soir, l’ambulance qui le transporta eu un accident, son corps ne fut jamais retrouvé. Et dans les méandres de la solitude, ses yeux se rouvrirent sur un monde morbide. EN IRL ♥! | Et vous, donc, qui êtes vous ? Votre pseudo: Beeeh... Seth. Uù Votre Age: 17 aaans. *vieuxQAQ* Expérience RP: Un an et des brouettes. Un avis sur le forum ? ... °_° Comment tu nous a connu ? °_°" Un commentaire ? °___°""" .... Parrain \o/ Code du règlement: Validé par Déchéance ♪
|
Fiche codé par Aetyhs, aussi appeler Lumière du jugement. Reproduction interdite en dehors de Né-Andarta |
|