Marianne Falconey
| Sujet: Marianne Falconey Dim 2 Fév - 18:43 | |
| . Marianne Falconey | En bref et en gros ♪ Noms: Falconey Prénom: Marianne Age: 17 Taille: 160 cm Poids: 48 kg Sexe Feminin Origine: Italie Clan: Partie réservé aux Administrateurs ♥ Loisir: Le sport, entre autres la natation
Epoque d'origine: 500 ap.JC Centre d'intérêt: Le maniement des armes Aime:Se prélasser dans son lit le matin Deteste: Se soumettre aux règles
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Allez, le physique !
Marianne est assez petite de taille et très légère. Il lui est donc facile de se faufiler dans les espaces étroits. Ses mouvements sont gracieux et harmoniques en général, mais il lui arrive souvent d'être maladroite en raison de son manque de flexibilité. Ses adversaires la sous-estiment en permanence à cause de son corps menu. Outre cela, elle possède de longs cheveux noirs qui ont tendance à onduler et ses yeux sont d'un brun rougeâtre, couleur étrange qui lui vient de son père. Son père est d'origine italienne et sa mère est d'origine française. La peau légèrement bronzée de Marianne est marquée de quelques cicatrices dues aux nombreuses batailles qu'elle a livrées dans sa vie. Bien sûr, quelques unes d'entre elles ne viennent pas de batailles, mais plutôt des fois où elle s'étalait de tout son long après avoir trébuché sur une roche ou autre.
Allez, le mental !
Marianne est une fille qui aime beaucoup plaisanter avec ses amis. Elle est sociable avec à peu près tout le monde, mais il lui arrive d'être timide et un peu renfermée. L'humour fait partie intégrale de sa vie depuis qu'elle a rencontré son meilleur ami qui a été son seul soutien moral depuis son entrée dans les insoumis. Tout d'abord associable et peu loquace, elle a bien vite appris à s'épanouir grâce à son ami. Elle peut désormais parler devant de grandes foules sans craindre d'avoir l'air ridicule. Personne ne veut se retrouver dans la liste noire de Marianne. Cette dernière possède un sens de la répartie bien à elle en plus d'être très directe par moments. Elle a un esprit machiavélique qui pourrait en faire fuir plus d'un. Encore une chance qu'elle ait la patience d'un sage... Enfin, ça dépend des jours. Alors, gare à la dague lorsqu'elle s'énerve !
Allez, l'histoire !
C'était une soirée d'été bien ordinaire. Je dormais tranquillement dans mon lit quand je fus réveillée par un bruit sourd au rez-de-chaussée. Je me levai doucement et me dirigeai vers l'escalier. J'hésitai à réveiller ma petite soeur, Agnès, et décidai que ça serait préférable de le faire. Je lui fit signe de se taire et nous descendîmes les marches lentement. Rendues au salon, une vision d'horreur s'offrait à nous. Les corps ensanglantés de nos parent gisaient au sol et, tout près, un homme au regard fou et aux dents acérées tenant une épée tachée de sang. Il nous regarda toute les deux et nous dit d'une voix grave : « Vous êtes les prochaines.» Je réagis au quart de tour et pris le bras d'Agnès. Nous sortîmes de la maison rapidement. Je couru du plus vite que mes petites jambes de fillette me le permettaient. Lorsque nous arrivâmes à la place centrale, nous fûmes bousculées dans tous les sens par la foule. Tout à coup, je perdis ma prise sur la main d'Agnès. En me tournant, je ne la vis nul part. Je commençai à serpenter entre les adultes en criant désespérément le nom de ma soeur. « Agnès ? AGNÈS !» ... Aucune réponse. Quelques personnes me regardèrent étrangement avant de passer leur chemin, n'ayant aucunement pitié de la petite fille de huit ans que j'étais. C'est à ce moment que je compris que personne ne m'aiderait. Que j'étais désormais seule au monde.
Quelques semaines plus tard, j'étais là, dans une ville lointaine que je ne connaissais pas encore. Mes vêtements étaient tous tachés et en lambeaux, les passants me regardaient avec dégoût. La faim tenaillait douloureusement mes entrailles. Rarement, quelqu'un venait me donner une pièce de bronze ou d'argent. Avec ces quelques pièces, je réussis à m'acheter du pain. J'en dévorai la moitié sans tarder et gardai l'autre pour ce soir. J'étais épuisée. J'allai m'asseoir dans un petit coin tranquille, à l'abri des regards et essayai de trouver le sommeil. Je me réveillai au son d'une voix qui m'appelait. «Hé, gamine, réveille-toi.» En ouvrant les yeux, je vis un garçon qui semblait avoir à peu près seize ans. Il avait les cheveux bruns et les yeux verts. Il portait des habits assez soignés et, à sa ceinture, une dague ornée d'un rubis éclatant était attachée. Il me demanda alors ce que je faisais là. Je lui racontai en toute honnêteté ma mésaventure. Mes larmes coulèrent à flot. Le brun me regarda avec tristesse et me tendis la main. «Viens, je t'emmène dans un endroit sécuritaire.» Je le suivit, n'ayant pas vraiment d'autre choix. Je me guida jusqu'à sa maison. Il me raconta qu'il habitait seul depuis que ses parents avaient déménagé. Il me donna une chambre et quelques vêtements pour me changer. J'étais contente d'avoir trouvé quelqu'un pour m'héberger. Plusieurs mois plus tard, moi et Dominic étions dans une clairière au milieu de la forêt. Il m'avait enseigné à me servir d'une dague. J'étais en train de m'entraîner à lancer la dague quand il m'interpella et me demanda de m'asseoir. «Marianne, je dois partir pour la guerre. Si tout va bien, je reviendrai dans trois mois, sinon, je veux que tu hérites de ça.» Il sortit sa précieuse dague ornée d'un rubis et me la tendit. J'hésitai à la prendre mais, voyant qu'il insistait, je la soulevai doucement. «Merci Do !» je me jetai dans ses bras et il me rendit mon étreinte. Malheureusement, les trois mois passèrent, beaucoup de chevaliers revinrent, mais pas Dominic.
À l'âge de douze ans, j'avais appris à me débrouiller toute seule pour subvenir à mes besoins. Alors que je chassais du gibier dans la forêt, je tombai sur un chevreuil. Je saisis ma dague et une pierre de taille moyenne, m'apprêtant à lancer la pierre sur un arbre pour que la bête se dirige vers moi. Soudain, une flèche passa près de mon oreille et vint transpercer le cou du chevreuil. Il s'éffondra sur le champ. Un garçon blond passa près de moi et alla chercher la carcasse. Je m'avançai vers lui, en colère. «De quel droit tu voles mon gibier ?» Il me regarda avec un sourire narquois. «Est-ce que ton nom est écrit dessus ?» Je lui lançai un regard menaçant, sortis ma dague et gravai Marianne sur la carcasse. Il sortit son propre couteau et grava Noah dans la chair. Il se moquait de moi ! Je lui tournai le dos et fit mine de m'en aller. Au dernier moment, je décidai de lui jeter la roche dans ma main. Il la reçu sur la tête. « AOUCH !» Je continuai mon chemin, ne lui jetant pas un regard, même si je savais que, lui, il me fixait. Quelques instants plus tard, je me trouvais allongée au sol, sous le dénommé Noah. Je pouvais lire de l'énervement dans ses yeux d'un noir profond. Je décidai de riposter à cette attaque subite et repris le dessus sur lui. Je sortis ma dague et la posai sur sa trachée. « Okay ! dit-il. On va se calmer un peu maintenant.» Il essaya de me repousser doucement, mais je plaquai ses épaules au sol et pressai ma dague sur sa gorge. Un mince filet de sang apparut. «D'où viens-tu ?» Il fut surpris par ma question, ça se voyait. «J'habite ici.» «Seul ?» «Non, avec un groupe d'insoumis.» «D'insoumis ?» «On s'oppose aux injustices entre les habitants et la noblesse, alors on ne suit aucune règle... Et toi ? Tu vis seule ?» « Oui.» «Et si tu nous rejoignais ?» Je pris une minute pour réfléchir, puis je le libérai de mon emprise. « D'accord.»
Cela faisait 5 ans que je vivais avec les insoumis. Noah et moi étions devenus très proche. Je lui avait souvent parlé d'Agnès et de cette nuit où j'ai perdu mes parents. Il m'avait donc raconté comment son frère aîné avait perdu la vie. Nous étions un peu comme des partenaires de malheur. D'ailleurs, nous partions souvent en ville ensemble. Cette journée-là ne faisait pas exception. Nous allâmes en ville comme d'habitude pour acheter quelques effets. C'est à ce moment que, parmi la foule de gens, je le vis. Cet homme au regard fou qui avait tué mes parents. Il me remarqua lui aussi. Inquiète, je me tournai vers mon ami pour lui dire qu'on s'en allait. Malheureusement, il n'était pas là. Je le cherchai pendant quelques minutes avant de me rendre compte que l'homme me suivait. Je commençai à courir pour le semer... En vain. Il me rattrapa et m'attira dans une ruelle. Je voulu sortir ma dague pour me défendre, mais déjà, il me transperçait de son épée et se sauvait en courant. J'essayai de couvrir ma plaie sans grand succès. Je perdais trop de sang. Je m'effondrai au sol et fermai les yeux, attendant la mort.
La première chose que je vis en rouvrant les yeux fut un tout nouveau monde que je ne connaissais pas. Un monde nommé Né-Andarta.
EN IRL ! | Et vous, donc, qui êtes vous ? Votre pseudo: Marianne Falconey Votre Age: 16 ans Expérience RP: Aucune Un avis sur le forum ? Je trouve le forum vraiment amusant. C'est super de pouvoir discuter avec pleins de personnes différentes. Comment tu nous a connu ? Quelqu'un m'a parlé de ce forum. Un commentaire ? Parrain Marionnette Winchester Origine de l'avatar: Code du règlement: Validé par Ordre ☆
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Fiche codée par Aetyhs, aussi appelé Lumière du jugement. Reproduction interdite en dehors de Né-Andarta
Dernière édition par Marianne Falconey le Mar 18 Mar - 1:35, édité 2 fois |
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Lumière du Jugement
| Sujet: Re: Marianne Falconey Mer 5 Fév - 14:05 | |
| . Bonjour Marianne ! Une fois n'est pas coutume, c'est moi qui vait me charger de ta fiche et commenter le tout ! Déjà, merci de nous avoir rejoins ! ♥ Et merci à Doll de t'avoir guider jusque notre communauté. Comme ta fiche à 'air fini, je vais faire quelques petits commentaires. Déjà, il manque le code du règlement, à rajouter dans le cadre sur toi. Ensuite... Bien, je vois que ton histoire est bien construite et dense. Je pense que le physique et le mental sont de la bonne taille, même si il me paraisse un peu court. Pour le nom, Marianne et Agnès sont-ils vraiment italien...? C'est un détail, mais je me demandais, vu que ton perso est italien o/ Sinon, je pense que les Piques t'irait à merveille, mais j'attends l'avis d'un ou d'une de mes comparses x) Good day ! |
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Ordre Funeste
| Sujet: Re: Marianne Falconey Jeu 6 Fév - 20:50 | |
| . Bienbienbien. Mes excuses pour l'attente.
J'ai rien à ajouter, tout est bon maintenant, je te valide donc et te passe chez les Piques. Félicitations. o/ Un détail cependant. Il manque l'origine de l'avatar. Ça ne change rien à la validation, mais j'en ai besoin pour le Bottin.
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| Sujet: Re: Marianne Falconey | |
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